LXXIX.

Dans ce discours, Frédéric II proteste contre les faux politiques qui, „reserrés dans leur petites idées, ont cru qu'il était plus facile de gouverner un peuple ignorant et stupide qu'une nation éclairée“ .

<43>Il glorifie les époques de Périclès, d'Auguste, de Léon X, de Louis XIV, à raison de la sollicitude de ces grands hommes pour les arts et les sciences, qui ont eu, sous leur règne, leur plus magnifique épanouissement.

L'illustration de Menzel montre un médaillier richement ciselé, contre la paroi duquel sont dressées des monnaies et des médailles frappées à l'effigie de ces glorieux protecteurs de l'art et de la science; mais, entre Auguste et Léon X, se trouve intercalé Laurent le Magnifique, qui avait été oublié par Frédéric.