<227> à l'autre, qui est auprès de vous, vous n'avez qu'à l'adresser au colonel de Hafner,a auquel j'ai ordonné de le placer dans l'escadron de Warnery. S'ils font leur devoir comme il faut, vous pouvez compter sur leur avancement. Sur ce, etc.

10. AU MÊME.

Potsdam, 24 décembre 1747.

Pour répondre à votre lettre du 22 de ce mois, je vous dirai que, s'il y a une place d'enseigne à remplir au régiment de Nassau, et que votre neveu Vermeulen, qui y est porte-étendard, mérite de la remplacer, son chef, le lieutenant-général comte de Nassau, ne manquera pas de m'en faire la proposition. C'est ce qu'il faut donc attendre. Sur quoi je prie Dieu, etc.

11. AU MÊME.

Potsdam, 20 juillet 1750.

Pour répondre à votre lettre du 17 du mois courant, touchant l'envie que le sieur de Loen vous a témoignée, pendant votre séjour à Francfort-sur-le-Main, de venir s'établir à Berlin avec sa famille, s'il y pouvait obtenir un emploi convenable, je vous dirai que vous pouvez lui écrire qu'il n'avait qu'à s'y rendre, qu'il y serait bien reçu, et ne resterait pas longtemps sans être pourvu d'une charge con-


a Il n'y a jamais eu dans l'armée prussienne de colonel appelé Hafner ni de Hafner.