13. AU BARON DE PÖLLNITZ.

Potsdam, 2 août 1751.

J'ai bien reçu votre lettre du 31 du mois dernier. J'entre véritablement dans votre situation, mais je suis persuadé que, à votre tour, vous entrerez dans les miennes. La mortalité des bestiaux, le débordement des rivières, le dégât des ouragans dans les forêts, tous ces accidents réunis ne me permettent pas de faire pour MM. mes chambellans ce que je voudrais. Prêtez-vous donc aux circonstances, et comptez au reste sur toute la bonne volonté que vous me connaissez pour vous. Sur ce, etc.