<625> très-supérieurs. Adieu, mon cher frère; je vous embrasse de tout mon cœur, vous assurant de la tendresse avec laquelle je suis, etc.

19. AU MÊME.

(Leipzig) 8 février (1761).



Mon cher frère,

Je sais que vos terres ont souffert par l'invasion des ennemis.a Je conçois l'embarras que vous en devez ressentir. Je ne suis pas, malheureusement, en état de réparer la brèche que vos finances et celles de tant de bons patriotes ont soufferte; je fais ce que je puis, et de bien bon cœur. Recevez donc comme une marque de mon amitié le peu que je vous envoie; ne faites pas attention à la somme, mais à l'intention de celui qui vous l'envoie, et soyez persuadé que je serai toute ma vie avec une sincère tendresse, etc.

20. AU MÊME.

Meissen, 23 avril 1761.



Mon très-cher frère,

La part que vous venez de me donner de la grossesse de madame la princesse votre épouse m'a surpris agréablement, et je vous félicite


a Voyez t. V, p. 86 et suivantes.