28. AU MÊME.

Le 8 janvier 1770.



Monsieur mon cousin,

Je suis bien obligé à Votre Altesse des bonnes nouvelles qu'elle me donne encore de ma nièce. J'ai bien cru qu'on lui interdirait encore<130> l'écriture par rapport à l'affaiblissement de ses yeux, et j'aime mieux recevoir de ses lettres plus tard par ménagement pour sa santé. Je suis avec toute l'estime et l'amitié possible, etc.

Je vous prie d'assurer ma chère nièce de ma plus tendre amitié.