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73. AU MÊME.

Neisse, 20 août 1777.

Monsieur le comte de Hoditz, pour vous prouver que je ne vous ai point oublié, je suis bien aise de vous marquer que vos affaires prennent bon train, et je compte vous donner en son temps là-dessus des avis qui ne manqueront pas de vous faire plaisir. Sur ce, monsieur le comte, je prie Dieu, etc.

aSi vous renoncez à l'entretien de votre jardin, vous pourrez avoir quatre mille neuf cents florins de revenu net.

74. AU MÊME.

Potsdam, 15 septembre 1777.

Monsieur le comte de Hoditz, je vous sais un gré parfait de la part que vous prenez à l'état de ma santé, et vous remercie des vœux que vous faites pour l'accélération de mon rétablissement, qui, j'espère, ne tardera pas. La sincérité qui règne dans vos procédés ne me laissant nul doute sur la nature de vos sentiments, il m'est toujours agréable de vous témoigner combien je vous estime. Sur ce, etc.

75. AU MÊME.

Potsdam, 26 septembre 1777.

Monsieur le comte de Hoditz, vous ne cessez de me fournir de nouvelles preuves bien agréables de vos sentiments de dévotion


a De la main du Roi.