<314>fait rétablissement, et j'en apprendrai la nouvelle avec un vrai plaisir.

16. AU MÊME.

Le 26 novembre 1780.

C'est avec un plaisir bien sensible que j'apprends, par votre rapport d'hier, le changement favorable qui se manifeste dans la maladie de mon ministre d'État de Hertzberg, votre collègue. Il me fait espérer que, à moins de quelques nouveaux symptômes fâcheux, l'art conservateur de nos jours renouera le fil délicat des siens, en accroîtra la force, et en augmentera la durée à ma satisfaction et pour le bien de mon service. Je le souhaite, etc.

17. AU MÊME.

Le 28 novembre 1780.

.... Pour vos nouvelles de la santé de mon ministre d'État de Hertzberg, votre collègue, elles m'ont fait un plaisir bien sensible. Son médecina m'a rapporté également que son état est tel, que, à moins d'une récidive, et pourvu qu'il se tienne bien tranquille et éloigné de toute occupation quelconque, ces prémices de convalescence feront journellement des progrès, et le mèneront à un rétablissement parfait. Je souhaite que ce pronostic favorable se remplisse,b et qu'aussi votre santé reste intacte et aussi inaltérable que je le désire.


a Le conseiller intime Cothenius, médecin du Roi. Voyez t. XIII, p. 34; t. XIX, p. 38; t. XX, p. 137; et t. XXII, p. 323.

b Voyez t. XXIV, p. 385-387.