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69. DU PRINCE DE PRUSSE.

Leipzig, 12 novembre 1757.



Mon très-cher frère,

Comme vous quittez ces contrées, mon très-cher frère, j'espère que vous m'accorderez de me rendre à Berlin, où je tâcherai de rétablir entièrement ma santé.

Je suis avec le plus profond respect et un inviolable attachement, toute ma vie, etc.

70. AU PRINCE DE PRUSSE.

Leipzig, 12 novembre 1757.



Monsieur mom frère,

Je suis bien content que vous vous rendiez à Berlin pour y soigner le rétablissement de votre santé, et je souhaite sincèrement que vous soyez bientôt remis tout à fait de votre indisposition, et suis avec considération, monsieur mon frère, etc.a

71. DU PRINCE DE PRUSSE.

Oranienbourg, 8 décembre 1757.



Mon très-cher frère,

Je vous félicite, mon très-cher frère, de la victoire que vous venez de remporter. Soyez persuadé que les malheurs qui m'ont effacé de votre souvenir et privé de votre estime n'ont point


a Ce billet est de la main d'un secrétaire et signé par le Roi, qui avait mis au dos de la lettre de son frère (no 69) : « Bene. Fr. »