<206>union et pour la reserrer davantage. C'est ce que le sieur comte d'Algarotti, que j'ai jugé à propos de faire revenir auprès de ma personne, est chargé de représenter plus amplement à Votre Majesté avant que de quitter le séjour de Turin. Cependant, tout ce qu'il Lui pourra témoigner sur cet article, ne saurait égaler les sentiments d'estime et d'amitié parfaite avec lesquels je suis etc.

Federic.

Nach dem Concept.


308. AU COMTE D'ALGAROTTI A TURIN.

Berlin, 14 mars 1741.

Je suis très satisfait du détail que vous me faites par votre rapport du 8 février de la disposition où vous avez trouvé la cour de Turin, par rapport aux conjonctures présentes. Comme dans cette situation d'affaires votre séjour à ladite cour ne pourrait plus être d'aucune utilité pour mon service, mon intention est que vous retourniez auprès de ma personne, le plus tôt que vous pourrez.

Avant votre départ, vous n'oublierez pas de renouveler au roi de Sardaigne et à son premier ministre les protestations de mon amitié et de mon désir sincère et constant d'entretenir et de cultiver par toute sorte de moyens la bonne et parfaite intelligence avec sa cour, en remettant à Sa Majesté la lettre dont vous recevrez ci-joint l'original et la copie.

Federic.

H. de Podewils. C. W. Borcke.

Nach dem Concept.


309. AN DEN GEHEIMEN RATH FREIHERRN VON DANCKELMANN IN MAINZ.

Berlin, 14. März 1741.

Wir ersehen aus Eurem gehorsamsten Berichte vom 7. d. M. und der sub volanti angefügten französischen Relation, dass das am dortigen Hofe entworfene Plan zum Accommodement Unserer mit dem Hause Oesterreich habenden Differenzien darinne bestehe, dass Uns dasselbige zu Tilgung Unserer schlesischen Forderungen die Stadt Roermonde mit ihrem District abtreten solle.

Nun ist zwar leicht zu erachten dass Wir Uns auf solches Plan zu entriren keineswegs entschliessen können, indem die Uns dadurch zugedachte Satisfaction mit denen considerablen Praetensionen, so Wir an das grösste Theil des Herzogthums Schlesien haben, nicht die geringste Proportion hat, zu geschweigen, dass darauf auch deswegen keine Reflexion zu machen ist, weilen vermöge des Barrièretractats das Haus