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349. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BRESLAU.

Podewils berichtet, Breslau 16. April: Valory drängt auf den Abschluss des Vertrages. „Il sera fort difficile, pour ne pas dire impossible, de traîner cette négociation sans affectation .... Je me retrancherai d'abord sur la nécessité de trouver des moyens pour tenir le dos libre à Votre Majesté contre la Russie, et qu'il faut absolument faire agir la Suède, le Danemark, et même la Porte Ottomane, pour tenir la Russie en échec. Ç'a été toujours mon cheval de bataille dans les conversations . . . Autant que j'ai compris de ses discours, le maréchal de Belle-Isle aura de la répugnance de se rendre auprès de Votre Majesté, s'il n'est pas moralement persuadé que le traité en question sera signé ou avant son arrivée ou pendant son séjour.“

La Saxe doit nous déterminer, car si elle rompt avec nous, concluez qu'elle n'est pas seule; si elle se tient en repos, ne nous hâtons pas avec la France. C'est à quoi se réduit mon avis.

Fr.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.


350. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BRESLAU.

Podewils berichtet, Breslau 16. April: Da der König von Polen in seinem Schreiben vom 6. April die Besorgniss äussert, die an der sächsischen Grenze aufgestellten preussischen Truppen, zumal die Husaren, möchten der Oertlichkeit nicht kundig auf das sächsische Gebiet streifen, so giebt der Minister anheim, dem Fürsten von Anhalt gemessene Befehle zu ertheilen, damit jede Grenzverletzung vermieden werde.

Bon. On ne commencera pas la guerre.

Fr.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.


351. AN DEN GENERALFELDMARSCHALL FÜRST VON ANHALT-DESSAU IM LAGER BEI GÖTTIN.

Ohlau, 17. April 1741.

Durchlauchtigster Fürst, freundlich geliebter Vetter. Weilen es Meinem Interesse gemäss ist, bei den gegenwärtigen Conjuncturen mit den Sachsen an denen Gränzen und sonsten alle Ménagements zu gebrauchen, so wollen Ew. Liebden dafür rechtschaffen besorget sein, dass bei Meinen dortigen sämmtlichen Truppen eine rechte genaueund scharfe Disciplin gehaltenund alle Excesse indenen sächsischen Örtern