<242>Se. Königl. Majestät von Preussen hintergehe, sondern vielmehr aufrichtig an einem avantageusen Accommodement zwischen Höchstderoselben und dem wienerischen Hofe arbeiten liesse, in der Hoffnung, dass man préalablement auch die Convenienz des churbraunschweigischen Hofes versprochenermassen bei dieser Gelegenheit zu befördern suchen würde.

Worauf Se. Königl. Majestät replicirte, dass, dafern der König von Engelland Ihm Niederschlesien nebst der Stadt Breslau durch Ihre gute Officia verschaffen würde, Se. Königl. Majestät in alle die von dem hannöverischen Gesandten Herrn von Schwicheldt verlangte Desideria entriren wollte, mit der Condition, dass vor die Sicherheit einer freien Passage zu der Communication Ihrer Provinzen durch das Hildesheimische, es sei auf Märschen Dero Truppenoder sonsten, das benöthigte mitausbedungen und festgesetzet werden müsste. Desgleichen, dass wenn Se. Königl. Majestät durch die gute Officia des englischen und churbraunschweigischen Hofes nicht ganz Niederschlesien, inclusive Breslau, erhalten sollte, sodann nach Proportion, so viel als Se. Königl. Majestät fahren lassen müsste, von den churbraunschweigischen Postulatis gleichfalls abgehen und rabattiret werden müsste.

Wovon der Herr von Schwicheldt die Billigkeit zugestand, und darüber unverzüglich nach Hannover zu referiren versprach.

Nach der Aufzeichnung von Podewils.


369. AU COMTE DE HYNDFORD, MINISTRE DE LA GRANDE-BRETAGNE, A BRESLAU.

Camp de Mollwitz, [10 mai 1741].

Monsieur. Je viens de recevoir votre lettre du 9 de ce mois, par laquelle j'ai vu avec plaisir les marques des bonnes intentions de Sa Majesté le Roi votre maître pour accélérer l'accommodement de l'affaire de Silésie. Je vous prie de lui témoigner mes remercîments, en l'assurant de mon sincère désir de faciliter un ouvrage si salutaire; mais comme ce n'était pas à moi de faire plus d'avances que je n'ai fait, sans être assuré dessentiments de la cour de Vienne, j'attendrai ici tranquillement ce qu'elle y voudra répondre. Je suis avec beaucoup d'estime, Monsieur, votre très affectionné

Federic.

Nach der Ausfertigung im Record-Office zu London.


370. AU MINISTRE D'ÉTAT DE PODEWILS A BRESLAU.

Camp de Mollwitz, 10 mai 1741.

Monsieur de Podewils. Le comte de Truchsess m'ayant supplié avec instance de le faire venir ici, j'ai pris la résolution de lui accorder