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449. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BRESLAU.

Lager bei Strehlen, 4. August 1741.

Mein lieber Geheimer Etatsminister v. Podewils. Da der englische Gesandte Robinson zu Breslau angekommen sein wird, so werde Ich gerne sehen, dass Ihr mit demselben herkommet. Ich bin etc.

Vous direz à Valory qu'il peut compter que je n'entrerai en aucune négociation sérieuse avec Robinson, et que je' me moquerai de lui après l'avoir amusé. A présent il est temps de faire alliance avec Bavière. Et dites à Valory que les passe-ports qu'il me demande n'auront aucune difficulté.

Federic.

Que Valory envoie unexprès de l'autre côté de l'Oder, avec les dépêches de Broich.

Nach der Ausfertigung. Die beiden Zusätze eigenhändig.


450. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BRESLAU.

Podewils berichtet, Breslau 3. August: Der Generallieutenant v. Dossow bittet um Verhaltungsmassregeln in Betreff der eventuellen Besitzergreifung von Ravenstein. „Il est vrai que Votre Majesté souhaite d'avoir en échange et en guise d'équivalent pour cette seigneurie, par manière de composition avec l'électeur de Bavière, le château et le district de Glatz en Bohême. J'ai parlé aussi à différentes reprises au marquis de Valory, ... mais j'ai remarqué . . . que l'on ne pourra jamais se résoudre de laisser cette place comme la clef de la Bohême . . . entre les mains de Votre Majesté. De sorte que dans cette incertitude il me paraît . . . qu'on pourra laisser subsister dans son entier les ordres et dispositions faites autrefois par rapport à la prise de possession du château et de la seigneurie de Ravenstein.“

Lager bei Strehlen, 4. August 1741.

Gut, man kann aber deshalb gelegentlich wieder nach Frankreich schreiben.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


451. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BRESLAU.

Lager bei Strehlen, 5. August 1741.

[Podewils] soll an Valory sagen, dass er an den Churfürsten von Baiern einen Courier schicken und schreiben möchte, dass der Churfürst