<313>sein. Adieu, lieber Fürst, vergessen Sie Ihre gute Freunde nicht und sein Sieversiehert, dass man nicht mehr Estime haben kann als mit welcher ich bin Ew. Durchlaucht freundwilliger getreuer Vetter

Friderich.

Nach der Ausfertigung im Herzogl. Archiv zu Zerbst. Eigenhändig.


473. AU GRAND-MAITRE DE L'ARTILLERIE BARON DE SCHMETTAU A MUNICH.

Camp de Reichenbach, 28 août 1741.

Je viens de recevoir votre lettre du 15 du courant, dont j'ai été fort satisfait. On ne peut mieux juger des circonstances, ni parler mieux de la manière qu'on dût faire la guerre de la part des Bavarois, que vous n'y faites. J'espère que cela feraimpression sur l'Électeur, dont je reconnais la bonne volonté, mais qui peut-être se trouve arrêté par les mesures qu'on lui prescrit. En attendant, cela ne vous arrêtera pas de faire de votre mieux afin de convaincre l'Électeur de la solidité de vos Taisons. Vous devez en même temps parler au comte de Mortagne, et tâcher de le faire entrer au concert. Vos raisons sont trop convainquantes pour qu'elles ne dussent frapper qui que ce soit qui entend le métier de guerre. J'attends le plus souvent vos relations et vous pouvez être persuadé que je suis etc.

Federic.

Je vous envoie la relation de Pollmann, dont vous pouvez faire bon usage.1

Fr.

Nach der Ausfertigung. Der Zusatz eigenhändig.


474. AU CONSEILLER PRIVÉ DE GUERRE DE KLINGGRAEFFEN A MUNICH.

Camp de Reichenbach, 28 août 1741.

J'ai reçu la vôtre du 12 du courant, touchant l'arrivée du grandmaître de l'artillerie, baron de Schmettau. Je suis fort satisfait de la manière dont vous agissez avec lui, et je ne doute nullement qu'il n'agisse



1 Pollmann berichtet, Regensburg 17. August: „La cour de Vienne, à cequ'on apprend avec la dernière, est fort embarrassée sur les mouvements que la Bavière fait aux frontières de la Haute-Autriche; la populace de cette ville (Vienne) s'est révoltée à cette occasion, et a insulté dernièrement le chancelier de Sinzendorff avec son gendre, le comte de Perglas, venant de Presbourg, criant que lui avec Bartenstein était la cause qu'on ne finit pas la malheureuse guerre par un accommodement avec Votre Majesté; qu'on voudrait ouvrir les portes de Vienne àl'électeur de Bavière, pourvu qu'il se déclarât d'y faire sa résidence.“