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506. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BRESLAU.

Podewils berichtet, Breslau 14. September, über die bevorstehende Ankunft des russischen Gesandten v. Brackel in Breslau. „Il sera sans doute chargé principalement de deux commissions, dont l'une regarde le contingent auxiliaire que la Russie réclamera (gegen Schweden) en vertu de son alliance avec Votre Majesté, et l'autre de L'exhorter de faire Sa paix avec la cour de Vienne.“

Il faut lui dire sur le premier article que j'avais si fort besoin de mes troupes que je n'en pouvais point donner ailleurs.1

Sur le second, que l'alliance que j'avais avec le Roi Très Chrétien m'empêchait de faire ma paix avant mes alliés.

Fr.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung (praes. 17. Sept.) am Rande des Berichts.


507. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BRESLAU.

Podewils berichtet, Breslau 14. September: Schwicheldt hat den Entwurf zu einem Neutralitätsvertrage zwischen Preussen und Hannover vorgelegt, „Il contient que le roi d'Angleterre et le roi Pologne s'obligent de n'assister ni directement ni indirectement la reine de Hongrie contre Votre Majesté, ni de faire une démarche qui pourrait tendre au préjudice de Votre Majesté et en faveur et à l'avantage de la cour de Vienne.“ Die Gegenforderung ist „que Votre Majesté doit S'obliger de ne les point inquiéter, ou faire du tort à leurs pays, États et sujets, et qu'en cas qu'ils fussent attaqués, Votre Majesté Se devrait tenir entièrement neutre.“

On peut leur assurer que, moyennant les conditions qu'ils ne se nêlent de rien, je leur promets de les laisser en repos et tranquilles, et assaisonner cela des paroles les plus flatteuses et les plus obligeantes.

J'ai déjà sondé Valory: il dit que l'on est prêt d'accorder la neutralité à Hanovre, et de plus par mon canal; ainsi je vais écrire une lettre fort obligeante au roi d'Angleterre, par laquelle je le rassurerai, et nous verrons ensuite si nous en pourrons tirer ou pied ou aile.

Fr.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung (praes, 17. Sept.) am Rande des Berichts.



1 In demselben Sinne antwortet der König auf ein Schreiben desrussischen Kaisers, d. d. Petersburg, 15. August a. St., durch ein Kanzleischreiben d. d. Breslau, 11. October: „. . . tragen wir zu Ew. Kaiserl. Majestät Freundschaft und hohen Gemüthsbilligkeit das zuversichtliche Vertrauen, dass Sie hierunter .... Uns von der ponctuellen Erfüllung desjenigen, was obbemeldete Tractaten desfalls im Munde führen, entbinden werden, nachdemmalen Ew. Kaiserl. Majestät nicht verborgen sein kann, in was vor einer embarrassanten Situation Wir anjetzo mit dem wiener Hofe stehen . . ., so dass Wir keinen Theil Unserer Kriegsvölker entübrigen können“ etc.