<354>sammte Fürstenthum Neisse fordern könnte und bekommen müsste; dahero Ich dann um so weniger zweifelte, man werde wegen mehr erwähnter Lisière und dem kleinen District von dem Orte Schurgast keine Schwierigkeiten machen, da Ich dagegen den übrigen Theil des Fürstenthum Neisse sacrificirte, zumalen esnothwendig sei, dass Ich zu der Stadt Neisse einen gewissen District oder Banlieue haben müsste.

Ihr sollet Mir von allem, so dorten vorfallen wird, auf das umständlichste und fleissigste Eure Berichte erstatten.

Die Stadt Glatz betreffend, so konnet Ihr dem Maréchal de Belle Isle eröffnen, dass, wenn der Churfürst von Baiern das ganze Böhmen unzertheilet bekäme, Ich keinen Anstand nehmen würde, auf Glatz zu renonciren, welche Meine abermalige Sacrifice Ihr dann gehörig gelten zu machen wissen werdet. Uebrigens, und da auch bisher die in der Churmark belegene Districte von Storkow, Beeskow etc., bishero bei der Kron Böhmen noch Lehen gegangen, so habt Ihr Euch dahin zu bearbeiten, dass wenn der Churfürst von Baiern Durchlaucht die Kron Böhmen erhalten, Ich von dieser Lehnschaft freigesprochen und solche gänzlich aufgehoben werden möge. Es ist solches eine Kleinigkeit, welche der Kron Böhmen nichts importiret, und welches Mir hoffentlich, in Consideration dass ich auf Glatz gänzlich renoncire, sonder Bedenklichkeit wird gestattet werden können.

Nach der Ausfertigung.


527. AU MARÉCHAL DE FRANCE COMTE DE BELLE-ISLE A FRANCFORT SUR-LE-MAIN.

Camp de la Neisse, 23 septembre 1741.

Mon cher Maréchal. Vous recevrez, cette ordinaire présente, tout le détail par le marquis de Valory, tant des négociations infructueuses des Anglais que de mes réponses sur les points que vous m'avez marqués, et mes ordres en conséquence à M. zum Broich, à mesofficiers et présidents des provinces de Westphalie, pour assister en tout les troupes françaises. Je crois même que M. Valory vous aura instruit de mes opérations, et de la façon honteuse dont les Autrichiens perdent leur temps dans leur camp de Neisse.

Je n'ai qu'à vous dire encore deux mots; l'un sur lanécessité d'accélérer à présent l'élection d'un empereur, et l'autre touchant la neutralité des Hollandais. Le premier point est à présent de si grande conséquence que je regarde comme le plus grand service que vous puissiez rendre au Corps Germanique, de pousser l'élection de façon qu'elle soit faite immanquablement avant l'hiver.

Quant à la neutralité des Hollandais, cet objet vous doit intéresser d'autant plus que votre armée en Westphalie n'y peut être à son aise, à moins que l'on ne soit sûr que les Anglais ne transportent aucunes troupes sur lecontinent pour se joindre aux Hollandais; une pareille