<370>Le Maire, la négociation du sieur Titley, et faire rejeter par la cour de Danemark les nouvelles propositions anglaises.

Cependant, comme je suis encore en termes amiables avec Sa Majesté Britannique, et qu'elle affecte même de rechercher mon amitié, vous mesurerez vos démarches avec tant de circonspection que je n'y sois pas mêlé directement, et que vous ne paraissiez point travailler contre les intérêts de la cour d'Angleterre, surtout si le sieur Le Maire devait échouer dans sa négociation, afin que le sieur Titley ne trouve point de juste sujet de se plaindre de vous à sa cour, et de lui rendre par là suspectes mes intentions.

Federic.

H. de Podewils.

Nach dem Concept.


547. AU COMTE DE TÖRRING, MINISTRE DE BAVIÈRE, A BRESLAU.

Camp de Friedland, 8 octobre 1741.

Monsieur. Je viens de voir ce que vous a plu de me mander dans la vôtre du 6 de ce mois.1 Comme j'ai déjà donné mes commissions là-dessus à mon ministre d'État de Podewils, j'espère que vous voudriez bien conférer sur ce sujet avec mon dit ministre. Je suis etc.

Federic.

Nach dem Concept.


548. AU COMTE DE HYNDFORD, MINISTRE DE LA GRANDE-BRETAGNE, A NEISSE.

Von dem Obersten von Goltz.

Ce 8 octobre 1741.

Milord. Je serai demain, dimanche, vers midi à Kleinschnellendorf, château appartenant au comte de Sternberg, à la vue du camp de M. le maréchal de Neipperg. Son Excellence n'aura pas besoin de passeport, mais, en tout cas, en voici un. J'ai l'honneur d'être avec toute la considération possible, Milord, votre etc.

Goltz.

Nach der Ausfertigung im Record-Office zu London.


549. AU COMTE DE HYNDFORD, MINISTRE DE LA GRANDE-BRETAGNE, A NEISSE.

Von dem Obersten von Goltz.

8 octobre.

Tout est bien, on vous laisse Troppau. Nous ne pourrons nous voir avant-midi; on n'y sera qu'à trois heures après-midi. Vous y



1 In Betreff der Verhandlung wegen Glatz.