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2°. Qu'on n'insistât pas sur Ravenstein.

 

... Si Votre Majesté veut persister dans Ses engagements, il sera bon et nécessaire qu'on finisse cette affaire avant que l'Électeur soit élu empereur“

Bon, hâtez-vous de conclure à ces conditions.

Fr.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.


570. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BRESLAU.

Von dem Cabinetssecretär.

Hauptquartier Neunz, 28. October 1741.

Des Königs Majestät haben befohlen, Ew. Excellenz hierbei zu melden, wie Sie gerne sehen würden, wenn in der anliegenden Accessionsacte1 die unterstrichenen Worte: „moyennant de certains arrangements“ ,2 gänzlich heraus blieben, aliennassen solche nicht nur sehr vage und zu allerhand Explications sujets wären, sondern auch von denen Sachsen selbst missbrauchet, und dieselbe dadurch sich von einer Sache mehren könnten, welche ihnen doch gar nichts anginge, da diese Arrangements lediglich zwischen Sr. Königl. Majestät und Churbaiern auszumachen wären. Und da Höchstdieselbe sich bereits eigenhändig hätten, was sie unter solche Arrangements verständen, und wie weit Sie deshalb höchstens gehen, so würde gedachte Passage in der Accessionsacte ganz ohnnöthig sein.

Uebrigens könnten Ew. Excellenz alsdann ermeldete Accessionsacte zeichnen.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


571. A L'ÉLECTEUR DE BAVIÈRE [A SAINT-PŒLTEN].

Quartier général de Neunz, 28 octobre 174I.

Monsieur mon Cousin. J'ai reçu la lettre que Votre Altesse Électorale me fait le plaisir de m'écrire, avec beaucoup de satisfaction; je suis charmé de voir prospérer Ses armes et, en même temps, de La voir avancer dans le pays ennemi; je suis sûr qu'Elle Se trouvera bien de la démarche qu'EIle a faite, et que de quelque façon qu'il Lui plaise de diriger Ses opérations, Elle y trouvera à présent beaucoup plus de facilité.

Étant vivement attaché à Ses intérêts, je dois L'avertir que je crois indispensablement de Son service qu'Elle envoie encore de la dernière colonne française quelques troupes pour bien boucher les trois gorges



1 Zu dem Verträge zwischen Baiern und Sachsen vom 21. September, vergl. oben S. 351—353.

2 Vergl. die vorige Nummer.