<397>ihnen einnehmen. Sobald nun die Sachsen voraus und zwischen Ew. Liebden Quartieren und Mähren seind, so haben Ew. Liebden darauf zu denken, ob Dieselbe nicht par surprise sich der Stadt Glatz bemächtigen können. Ich werde deshalb an der Grenze und in der Nähe Mortiers parat halten lassen, damit, wann Ew. Liebden sich par surprise Meister von Glatz gemachet haben, selbige dann sogleich das Schloss bombardiren können.

Mit dem Generalfeldmarschall Graf Schwerin haben Ew. Liebden eine fleissige Correspondance zu unterhalten, umb von allem, so passiret, réciproquement au fait zu sein. Da auch der Maréchal de Belle-Isle nächstens zur französischen Armee nach Böhmen gehen wird, so können Ew. Liebden demselben, wann er nach Prag kommet, wohl schreiben, was Ihro Ortes im Lande passiret, und wie die Sachen stehen, wie dann Ew. Liebden auch wohl einmal, wenn es die Zeit leiden will und nichts versäumet werden kann, Selbsten zu gedachtem Marschall reisen können, um zu sehen, wie es bei ihm aussiehet; gedachte Correspondance aber mit dem Belle-Isle muss nicht soweit gehen, dass er sich dadurch einiges Commandos über Meine Truppen anmassen, noch eine Subordination“ praetendiren wolle. Ich bin übrigens Ew. Liebden freundwilliger Vetter

Fridrich.

Nach der Ausfertigung im Herzogl. Archiv zu Zerbst.


580. AU ROI DE POLOGNE A DRESDE.

Neisse, 2 novembre 1741.

Monsieur mon Frère. J'ai reçu la lettre que le colonel de Neubour m'a remise de la part de Votre Majesté.

Les occupations militaires que j'ai eues alors, en assiégant la ville de Neisse, où je viens d'entrer aujourd'hui, m'ont fait manquer, au départ dudit colonel, de témoigner à Votre Majesté mes sentiments de satisfaction et de reconnaissance, que les assurances de Son amitié ont opérés sur moi, ce dont je Lui demande excuse.

J'espère que le colonel de Neubour aura rapporté à Votre Majesté combien j'ai été content du plan qu'Elle a voulu me communiquer, et je La prie d'être persuadée que je contribuerai de tout mon possible pour seconder en tout les intérêts de Votre Majesté, que je compte inséparables des miens, et de cultiver de plus en plus les liens que nous unissent de nouveau.

Votre Majesté me fera justice, si Elle est persuadée de mon amitié sincère et de la considération infinie avec laquelle je suis, Monsieur mon Frère, de Votre Majesté le bon frère

Federic R.

Nach der Ausfertigung im Königl. Haupt-Staatsarchiv zu Dresden.