<422>Seiten bleiben. Uebrigens, und darmit Ich um so schleuniger und zuverlässiger von allem, so dorten vorgehet, informiret sein möge, so haben Ew. Liebden Mir wöchentlich zweimal Estafetten zu schicken und die Briefe durch die Jägers bis dahin zu senden, von wannen sie auf das sicherste und geschwindeste durch eine Estafette überbracht werden können. Ich verbleibe mit wahrer Hochachtung Ew. Liebden freundwilliger Vetter

Friderich.

Wohr Neipperg geschlagen wird, so schicken Sie eine Estafette an Schwerin, dass er sofort sich von Troppau empariret, und sollen Sie Glatz näher umschliessen oder auch wohr möglich suchen, Sich der Stadt zu bemeistern. Wann die Baiern geschlagen werden, so ruiniren Sie das Land vorwärts, dass Neipperg keine Subsistenz findet und ziehen Sich so weit zurücke, als es die Noth erfordert.

Friderich.

Nach der Ausfertigung im Herzogl. Archiv zu Zerbst. Der Zusatz eigenhändig.


613. AU GRAND-MAITRE DE L'ARTILLERIE BARON DE SCHMETTAU A PRAGUE.

[Berlin, 5 décembre 1741.]

J'ai reçu vos deux relations sous N° 16 et 17 par le courrier du prince Léopold, et je suis très content du détail que vous me mandez de l'attaque de Prague, et de ce qui s'est passé après la prise de la ville. Je suis charmé d'entendre que le maréchal de Belle-Isle y est arrivé, et je ne doute nullement que les affaires ne prennent présentement tout un autre tour qu'elles n'ont eu jusqu'alors. Comme on vient de me mander que l'armée de l'ennemi s'est avancée vers la Moldau, dans le dessein de combattre, je suis très impatient d'apprendre ce qui en est, et s'il y aura encore cette année une affaire décisive, ou, en cas que non, comment les deux armées se posteront pour prendre leurs quartiers d'hiver. Vous ne manquerez pas de m'en faire votre rapport détaillé, le plus tôt que cela se pourra, et vous avertirez en même temps le prince Léopold de tout ce qu'il lui faut. Vous ne laisserez échapper aucune occasion pour renouveler à Son Altesse Électorale les assurances de mon amitié constante envers elle, et j'espère que ma dernière lettre, que j'ai écrite tant à elle qu'à vous et au sieur de Klinggraeffen, et que le marquis de Beaujeu vous aura rendue, n'aura pas déplu à l'Électeur.

Quant au baron de Werthern, je ne saurais point lui être contraire d'accepter la place de lieutenant-colonel que l'Électeur vient de lui offrir, et j'y consens de bon cœur.

Federic.

Nach dem Concept, s. d. Das Datum aus Schmettau's Antwort.