<435>nehmen zu können. Dergleichen interessante Sachen er alsdann berichten sollte.

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


636. AN DEN ETATSMINISTER GRAF FODEWILS IN BERLIN.

Podewjls berichtet, Berlin 17. December, über die in Holland Verbreiteten Gerüchte von einem bevorstehenden preussischen Angriffe.1 „On voit bien d'où le coup part, et que c'est un artifice assez grossier des Anglais pour alarmer les Hollandais et leur donner la peur toute entière des desseins qu'on attribue à Votre Majesté de concert avec la France, pour faire rejeter la neutralité et obtenir une augmentation considérable des forces de terre de l'État.“ Podewils schlägt vor, den holländischen Gesandten v. Grakel vor den englischen Ränken zu warnen.

Il est bon qu'on parle à Ginkel sur le sujet des insinuations de la cour de Londres, mais il serait nécessaire que votre neveu2 eût des instructions relatives au même sujet. Le principal argument doit être pris, ce me semble, de la conduite passée du roi d'Angleterre envers la République, et de la tromperie que lui fit Trevor lors de la bataille Trevor de Mollwitz, qu'il cacha à la République pour lui extorquer la résolution qu elle prit alors, conjointement avec l'Angleterre, de me présenter la lettre déhortatoire.3 Ce qu'il y a de sûr, c'est qu'on n'a point à craindre de la Hollande des coups de vicacité, et ces gens ne sont pas assez insensés pour donner légèrement à tête baissée dans les idées du roi d'Angleterre. Un argument très fort qu'on peut leur indiquer pour me laver envers eux, c'est que, bien loin de rassembler des troupes sur leurs frontières, j'en retire de là-bas, et que le régiment de Dohna a reçu ordre de marcher au premier jour pour se rendre ici. Voilà, je crois, des choses qui les persuaderont, et qui les doivent tranquilliser, en cas que l'Angleterre ne leur ait pas entièrement fasciné les yeux.

Fr.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung am Rande des Berichts.


637. AN DEN GENERAL DER INFANTERIE, ERBPRINZ VON ANHALT-DESSAU, IN JUNGBUNZLAU.

Berlin, 18. December 1741.

Durchlauchtiger Fürst, freundlich lieber Vetter. Ew. Liebden ist nicht unbekannt, in was Umständen Ich mit des nunmehrigen Königs von Böhmen Majestät wegen des Glatzischen stehe. Da Ich nun besorge, dass bei der starken Contribution, welche man denen böhmischen Staaten ohnlängst angesagt, man auch solche auf das Glatzische werde mit extendiren wollen, so finde nöthig, Ew. Liebden dieserwegen Meine Willensmeinung dahin zu eröffnen, dass Dieselbe keinesweges zulassen



1 Vergl. oben Nr. 611.

2 Vergl. ebendaselbst.

3 Vergl. oben S. 255. 342.