<67>et il faut insister sur une exacteégalité; au reste, vous devez tâcher de faire ajouter encore un article qui porte que les deux cours se seconderont mutuellement dans tous leurs desseins, et se prêteront toujours les mains, en tout ce qui peut être de leur intérêt commun.

Federic.

H. de Podewils.

Nach dem Concept.


105. AN DEN LEGATIONSSECRETÄR HECHT IN MANNHEIM.

Berlin, 17. October 1740.

Lieber Getreuer. Ich befehle Euch hiedurch, dass, wann Gott über das Leben des Churfürsten von der Pfalz disponiren möchte,1 Ihr dann nicht allein sogleich dem Generallieutenant von Dossow, sondern auch dem Generalmajor von Leps und Prinz Dietrich,2 auch Obrist Beaufort schleunige Nachricht ertheilen sollet. Ich bin etc.

Friderich.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei,


106. AU MINISTRE D'ÉTAT DE PODEWILS A BERLIN.

Berlin, 19 octobre 1740.

J'ai été bien aise d'apprendre par votre mémoire du 17 de ce mois que les envoyés de Liège sont autorisésd'accepter l'accord projeté touchant la vente de ma baronie de Herstal, sous les conditions que vous m'avez indiquées. Pour finir cette affaire, je l'accepte aussi de ma part, en approuvant le traité ci-joint avec vos modifications. Je suis etc.

Federic.

Nach der Ausfertigung.


107. AU CONSEILLER PRIVÉ DES FINANCES DE BORCKE A VIENNE.

Berlin, 21 octobre 1740.

J'ai vu par votre premier post-scriptum du 12 de ce mois les sentiments où l'on est à la cour impériale, au sujet des liaisons des électeurs de Bavière et de Cologne avec la France.



1 Es hatte sich das Gerücht verbreitet, der Churfürst spüre „einen starken Ansatz von der Wassersucht.“

2 Dietrich von Anhalt. Die Regimenter der Genannten standen in den westphälischen Provinzen.