<98>dorf anrücken und stehen bleiben, drei Grenadier-Bataillons, die westphälische Grenadier-Compagnieen nebst dem zweiten Bataillonvom Regiment von Jung-Borck aus Wesel, in die Städte Unseres bergischen Antheils geleget werden sollen, um den ergriffenen Besitz zu mainteniren; wornach Ihr also, wenn nichts erhebliches deshalb vorzustellen ist, die geheime Commission instruiren sollet. Ich bin etc.

Friderich.

Nach der Ausfertigung.


151. AU COLONEL DE CAMAS A PARIS.

Rheinsberg, 11 novembre 1740.

Monsieur de Camas. J'ai bien reçu vos deux lettres du 27et 30 d'octobre, et j'ai été satisfait des nouvelles intéressantes que vous m'avez mandées. Supposant que vous serez déjà sur votre départ, ayant reçu votre rappel il y a quelques semaines, je remets jusqu'à votre retour de m'entretenir avec vous sur ces matières, et j'espère que vous vous rendrez bientôt ici. En attendant, je ne suis point surpris de ce que le Cardinal fait à présent parade d'un dehors de modestie et de désintéressement, au sujet des affaires de l'Allemagne, mais la suite nous prouvera si les effets répondront à ces beaux sentiments d'équité et de modération. Je vous souhaite un heureux voyage, étant etc.

Federic.

Je m'étonne beaucoup que vous ne soyez pas encore sur le chemin pour revenir à votre régiment, votre commissionest finie, et d'ailleurs, il n'y a aucun parti à tirer de ces gens.

Nach der Ausfertigung. Der Zusatz eigenhändig.


152. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BERLIN.

Podewils berichtet, Berlin 11. November: Da alles fertig sein muss, um beim Einmarsch in Schlesien an die fremden Höfe Stafetten schicken zu können, so bittet er im Voraus um Weisungen über folgende Punkte:

 

1° Ob Borcke die Motive des Einmarsches in Wien mündlich vortragen soll.

Oui, et il doit dire que c'est par amitié, et proposer d'abord qu'on doit se remettre à moi.

2° „Si, en cas qu'on veuille se prêter de bonne grâce à Vienne à céder la Silésie à Votre Majesté, il doit, en Son nom, leur promettre une garantie efficace, avec toutes les forces de Votre Majesté, de tous les Etats que la maison d'Au-

Bon, en y faisant entrer les Maritimes.