70. AU CONSEILLER PRIVÉ DES FINANCES DE BORCKE A VIENNE.46-1

Moyland, 13 septembre 1740.

Monsieur de Borcke. Le procédé inoui du prince évêque de Liège m'ayant forcé à des mesures convenables pour le ramener à laraison, je vous envoie quelques exemplaires de l'imprimé qui contient en abrégé les motifs qui m'y ont porté.46-2 C'est une affaire de prince à prince qu'il ne faut pas regarder comme une de l'Empire, ne s'agissant que de me procurer une satisfaction des injures que ce prince m'a faites. Vous vous servirez de ces pièces, qui seront bientôt suivies des preuves et des éclaircissements nécessaires, pour informer la cour où vous êtes et le public de la justice de ma cause. Je suisetc.

Federic.

Nach der Ausfertigung.



46-1 In simili an den Legationsrath v. Ammon in Dresden; in kürzerer Form an den Oberst v. Camasin Paris und den Residenten v. Borckenfeld in Brüssel.

46-2 Vergl. oben S. 45 Anm. 1.