280. AU CARDINAL DE FLEURY A ISSY.

Rheinsberg, 6 février 1741.

Monsieur mon Cousin. J'ai vu avec bien du plaisir les dispositions favorables dans lesquelles se trouve le Roi votre maître à mon égard; je désire passionnément de m'unir plus étroitement avec lui, et de coopérer à ses intérêts, maisj'ai prié préalablement le marquis de Valory de me faire avoir quelques éclaircissements, sur des points que je crois indispensablement nécessaires, avant que d'entrer en alliance.

Je suis d'opinion qu'il faut bien examiner et peserles raisons, avant que d'entrer en alliance, mais lorsqu'on a tant fait que d'y entrer, il ne s'agit alors que de satisfaire efficacement à tous ses engagements. Vous verrez par ma conduite que je ne démentirai jamais les sentiments que je fais paraître etc.

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei. Die Ausfertigung eigenhändig.

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