290. AN DEN ETATSMINISTER VON PODEWILS IN BERLIN.

Podewils berichtet, Berlin 20. Februar: Die vorläufige Antwort des Königs von England auf das Anbringen des Grafen Truchsess „n'est pas fort satisfaisante jusqu'ici, et on se retranche toujours sur l'obligation où l'on est en Angleterre de remplir ses engagements pour le soutien de la Pragmatique. En attendant, comme on offre toujours les bons offices en Angleterre, en soutenant que la cour de Vienne ne saurait les refuser, quoiqu'elle n'accepte point un e médiation dans les formes, nous croyons qu'il sera indifférent à Votre Majesté si la cour de Londres veut travailler à un accommodement sous le nom de bons offices ou sous celui d'une médiation, pourvu qu'elle ne prenne pas ouvertement le parti de la maison d'Autriche.“

[Schweidnitz, 24 février 1741.]

Endormons-les, et tâchons de leur faire accroire qu'on se prêterait à tout; qu'on parle d'Ostfrise, peut-être que cela réussira; et réfutez donc une fois bien comme il faut l'erreur dans laquelle on est de mêler mon affaire avec la garantie de la Pragmatique, vu que ce sont des choses de nature tout différente.

Federic.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung (praes. 36, Febr.) am Rande des Berichts.