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dont il s'agit, au cas que la chose soit faisable, ce dont nous ne sommes pas en état de juger jusqu'ici, au défaut d'une carte exacte de l'endroit en question.

Enfin, comme la nonchalance que la cour de France témoigne pour les affaires en général, pourrait bien aussi gâter celles de Pologne, nous souhaiterions encore de savoir

5° S'il ne faudrait pas recommander au sieur de Maltzahn de porter le comte de Broglie à travailler de son côté et à concourir au succès des intérêts communs, en lui faisant valoir les soins que Votre Majesté Se donne relativement au même objet. Il dépendra aussi

6° Des ordres de Votre Majesté s'il ne conviendrait pas, par la même raison, d'en écrire au baron de Knyphausen, pour qu'il fasse une insinuation semblable au nouveau ministre des affaires étrangères,1 en lui faisant sentir, quoique sans affectation et avec le ménagement convenable, que les affaires de Pologne sont les plus pressantes, dans le moment présent, et celles qui méritent le plus l'attention de la France et un parfait concert entre Votre Majesté et elle.“

ein grosses Aufheben machen wollte über eine kleine Insel in der Weichsel, davon Ich Mich nicht in Possession gesetzet, noch nicht einmal ausgemachet worden, wem das Dominium gehöre. Dass man also klar sehen könne, was vor ein esprit de passion darunter regiere und woher die Sugilations kämen.

Allerdinges.

Sehr gut; dieses ist nothwendig.

Mündliche Resolutionen. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.


6423. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION JEAN-DIDIER DE MALTZAHN A VARSOVIE.

Potsdam, 10 août 1754.

J'ai reçu votre rapport du 1er de ce mois. Je ne puis qu'applaudir entièrement la conduite que vous avez tenu jusqu'à présent, dans la situation orageuse et critique où se trouvent actuellement les affaires en Pologne, aussi continuerez-vous de vous conduire sur le même plan que vous avez observé jusqu'ici; et, comme vous savez assez que je ne juge point convenables les conjonctures présentes pour que des confédérations éclatent en Pologne, vous tâcherez d'éluder de bonne manière la proposition captieuse qu'on a voulu vous faire de la part du Grand-Maréchal,2 en y répondant en termes convenables que, bien éloigné que j'étais de vouloir abandonner les bien intentionnés pour la liberté de la République, je serais cependant, aussi, tout mortifié de les commettre mal à propos. Ce que vous ferez dans des termes bien mesurés, pour



1 Vergl. S. 400.

2 Grand-Général. Vergl. S. 397 Anm. 2.