<463> mon sujet, étaient des choses absolument controuvées, et que jamais il n'avait été chargé de quelque commission de ma part.1 Sur ce, je prie Dieu etc.

Federic.

Nach der Ausfertigung.


6512. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION JEAN-DIDIER2 DE MALTZAHN A VARSOVIE.

Potsdam, 9 novembre2 1754.

Je ne fais aujourd'hui qu'accuser la réception de la dépêche que vous m'avez faite à la date du dernier du mois passé d'octobre, et vous laisse juger vous-même de la suprême satisfaction que j'ai eue en apprenant toutes ces nouvelles intéressantes que le post-scriptum de votre dépêche3 comprend. Je n'en souhaite que la continuation, en ajoutant seulement que, selon mes avis, la naissance du jeune prince de Russie, si peu attendue après tant d'années de mariage entre ses parents, ne laisse pas d'embarrasser la cour de Vienne, qui n'a vu qu'avec regret cet évènement, ayant été toujours portée pour le jeune Iwan.4 C'est qui n'est cependant que pour votre direction seule.

Federic.

Nach dem Concept.


6513. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION BARON DE KNYPHAUSEN A FONTAINEBLEAU.

Potsdam, 9 novembre 1754.

J'ai reçu votre rapport du 27 d'octobre dernier. Vous devez comprendre que ce n'est pas de vous que je m'attends principalement d'être instruit sur les affaires présentes en Pologne, mais plutôt de ce qui se passe en France, conformément à ce que je vous ai indiqué à ce sujet par mes dépêches antérieures; car il faut que je le vous répète encore que les rapports vagues, superficiels et point intéressants que vous m'avez faits depuis plusieurs temps, ont suscité en moi toute l'indigna-



1 Der Cabinetssecretär schreibt an den Grafen Podewils, Berlin 6. November: „Ew. Excellenz können auf dasjenige, so des Königs Majestät in Dero Schreiben von den Umständen des Leutrum berühren, sicher und gewiss rechnen, und dass derselbe niemalen einige Commission von Deroselben erhalten. Welches ich vor mein weniges Particulier gewiss versichern kann, ob ich gleich in nichts dermalen gebrauchet worden, noch den Leutrum einmal hier mit Augen gesehen habe. Von der Aeusserung desselben, dass des Königs Majestät jemanden nach Russland senden möchten, ist dem von Maltzahn und dem von Knyphausen nichts geschrieben worden; Ew. Excellenz aber solches zu schreiben, haben des Königs Majestät exprès befohlen, um Deroselben nichts von dem ganzen Zusammenhang der Sache zu verhalten.“

2 In der Vorlage verschrieben: octobre.

3 Das Postscriptum recapitulirt einen Bericht von Funcke an Brühl, Moskau 1. October, sowie vier Berichte des Grafen Flemming an Brühl (5.—16. October); den Inhalt geben die Immediaterlasse an Knyphausen und Klinggräffen vom 9. November wieder.

4 Vergl. S. 369.