<63> indecenten Betragen mit gebührender Activité entgegen zu gehen, so viel an Euch ist, es an nichts ermangeln lassen werdet; auf dass Ihr aber von Meiner eigentlichen Intention darunter um so mehr vergewissert sein könnet, so habe ich Euch durch dieses Mein immediates Schreiben (von welchem Ihr doch keine Abschriften geben müsset, sondern Euch den Einhalt dessen bloss zu Eurer Direction dienen lassen sollet) dieserwegen dahin instruiren wollen, dass wann dergleichen Unanständigkeiten und Illegalitäten, auch Impertinentien von Seiten oberwähnter Ministres oder von wem es auch sonsten sein wolle, weiter unternommen werden wollen, Ihr dabei nicht gelassen sein, noch weniger Euch timide betragen, vielmehr, ohne einmal weitere Ordre deshalb zu gewärtigen, reine von der Leber wegsprechen, und obschon ordnungmässig, jedoch haut à la main dergleichen Indécences Euch zuwiderstellen und Meine und Meines Hauses Dignité sowohl in diesen als andern Vorfallenheiten mit allem gebührlichen Nachdruck souteniren sollet; dabei Ihr Euch jedes Mal Meiner gnädigen Protection versichert halten könnet. Ihr habt Euch hiernach wohl zu achten und Ich bin u. s. w.

F riderich.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


6019. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE HÆSELER A COPENHAGUE.

Camp de Spandau, 1er septembre 1753.

J'ai reçu votre rapport du 25 de ce mois. Vous aurez déjà pu vous informer par une de mes précédentes lettres1 comme quoi le prince Ferdinand de Brunswick ira faire vers le mois d'octobre prochain un tour à Copenhague; je vous avertis par la présente qu'il partira d'ici le 22 de ce mois, et que son absence sera de deux mois. Mon intention est d'ailleurs que vous n'usiez point de réserve avec ce Prince, mais vous pourrez vous expliquer librement avec lui sur toutes choses, vous avertissant d'avance de ne point ajouter foi ni de regarder comme fondés les bruits qui pourront courir à Copenhague sur son compte, savoir qu'il entrerait au service du Danemark.

Federic.

Nach dem Concept.


6020. AU LORD MARÉCHAL D`ÉCOSSE A PARIS.

Lord Marschall von Schottland berichtet, Paris 20. August, über den Plan zur Veranstaltung einer Königlichen Lotterie. „Cette opération est une nouvelle preuve du dérangement des finances de ce royaume et de l'insuffisance des fonds qu'on a destinés après la paix pour amortir

Camp de Spandau, 1er septembre 1753.

J'ai bien reçu le rapport que vous m'avez fait du 20 du mois dernier, et suis bien fâché de ce que la mauvaise administration des



1 Nr. 6011.