6432. AN DEN ETATSMINISTER GRAF PODEWILS IN BERLIN.

Podewils berichtet, Berlin 16. August, dass er eine Wiederaufnahme der Verhandlungen mit Spanien erst dann für angezeigt halten könne, wenn es sich entschieden haben werde, ob der General Wall, derzeit Minister des Auswärtigen, zum Premierminister mit der bisherigen Machtfülle des in Ungnade gefallenen Marquis Ensenada werde ernannt werden, weil mit einem Premierminister sich leichter verhandeln lasse als mit den auf einander eifersüchtigen Ressortchefs des Auswärtigen und der Finanzen. „D'ailleurs, ayant parlé à milord maréchal d'Ecosse sur cette affaire, quand il revint à Potsdam de son ambassade de France, il m'a assuré qu'après avoir pris langue là-dessus auprès de l'ambassadeur d'Espagne en France, il était persuadé que Votre Majesté ne tirerait jamais une obole de l'Espagne pour Ses prétentions, à moins que cette couronne ne crût avoir besoin de Votre Majesté, ce qui n'arriverait jamais en temps de paix, où, l'on croyait à Madrid de pouvoir se passer de Votre Majesté … Mais si, malgré toutes ces considérations, Votre Majesté voudra pourtant risquer quelque tentative pour cela dès à présent, auprès des nouveaux ministres, surtout auprès de Wall, personne ne serait plus propre de lui écrire làdessus en Son nom que milord maréchal d'Ecosse, son ancien ami,406-1 et nous pourrions fournir au dernier u n précis des prétentions de Votre Majesté et tout ce qui serait nécessaire pour cette correspondance.“

Potsdam, 17. August 1754.

Recht gut. Er kann mit Mylord Maréchal davon weiter sprechen und die nöthige Information an ihn deshalb geben, damit dieser deshalb nur als vor sich das Terrain in Spanien sondire und darum schreibe.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



406-1 Vergl. S. 337.