<30> est à présent sur les résolutions et sur le système que le Sultan et son ministère prendront.

Federic.

Nach dem Concept.


6610. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION JEAN-DIDIER DE MALTZAHN A DRESDE.

Berlin, 21 janvier 1755.

J'accuse la bonne réception des rapports que vous [m'avez faits] du 14 et du 18 de ce mois. Il n'y a rien qui vous empêchera d'assister à la fête où le ministre de Russie, le sieur Gross, vous a invité.

Quant à la poste des uhlans, je vous renvoie à ce que mes ministres vous marqueront à ce sujet,1 et espère que la cour où vous êtes se contentera d'un terme de deux mois que j'ai mis préalablement au delà de celui que j'avais fixé d'abord.

Pour ce qui regarde la copie à tirer du tableau de Rubens en grand comme l'original, je souhaite de l'avoir faite par le peintre Dietrich, avec qui, cependant, vous vous règlerez auparavant sur le prix qu'il demandera pour en faire une bonne copie, dont vous me ferez votre rapport.

Federic.

Nach dem Concept.


6611. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 20. Januar, über ein Schreiben des Landgrafen Wilhelm von Hessen-Cassel, das der König ihnen uneröffnet zur weiteren Veranlassung übergeben hatte: „Le Landgrave mande qu'ayant réglé par un testament solennel en conformité des actes passés2 entre lui et le Prince, son fils, l'administration future des pays de Hesse et de Hauau, la confiance que lui inspiraient les marques de bienveillance reçues de la part de Votre Majesté et de la magnanimité de ses sentiments, l'avaient déterminé à nommer Votre Majesté tuteur honoraire et, en certains cas, contuteur ordinaire des Princes, ses petits-fils, et de La rechercher même de vouloir bien Se charger de l'exécution du testament; qu'îl se flattait que Votre Majesté ne Se refuserait point à cette demande et qu'Elle voudrait bien l'en assurer d'avance.“

Berlin, 21. Januar 1755.

Das will Ich wohl annehmen, aber das einzige, was Ich zuforderst bitte, ist, dass der Landgraf Mir vorher das Testament vertraulich communiciret, ehe Ich Mich davon chargire. Im übrigen muss dem Landgrafen mit sehr vieler Politesse geantwortet werden, dass Ich sehr wünschete, wie dies Évènement nicht eher als in den spätesten Zeiten des menschlichen Lebens arriviren möge, dass aber, wenn es der Providence gefällig sein sollte, eher von ihm zu disponiren, er versichert sein könnte, dass alles mit der grossesten Exactitude getreulichst executiret werden sollte.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs



1 Vergl. Nr. 6607.

2 Vergl. Bd. X, 509.