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6612. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 20. Januar, auf den Befehl des Königs, einen Nachfolger für den Geheimen Legationsrath von Maltzahn in Stockholm vorzuschlagen,1 über die Befähigung der einzelnen älteren Legationsräthe und empfehlen dabei den Grafen Solms, den sie zuvor für Kopenhagen in Vorschlag gebracht hatten. 2

Berlin, 21. Januar 1755.

Also mögen sie den Grafen Solms hinschicken.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretars,


6613. AN DEN GEHEIMEN KRIEGSRATH EICHEL IN BERLIN.

Finckenstein berichtet, Berlin 21, Januar: „Je me suis acquitté des ordres que Votre Majesté a daigné me faire tenir au sujet du sieur Cagnony, et je me flatte l'avoir fait de manière qu'il ne s'est douté de rien. Je l'ai engagé à me parler luimême des affaires de Turquie, du changement que la mort du Sultan devait y produire, et de l'intérêt que la Russie pouvait y prendre. J'ai saisi cette occasion pour lui dire que je ne doutais pas que le chancelier Bestushew n'envoyât quelque ministre à Constantinople pour éclairer les allures du nouveau Sultan; que je le croyais homme à ne pas regarder dans ces sortes d'occasions à la dépense que ces sortes de missions occasionnaient, et qui de la manière dont on m'avait parlé en Russie, devait être très forte, non seulement sur les lieux, mais même en voyage, à cause des présents qu'on était obligé de faire aux bâchas des provinces frontières. Sur quoi, il me répondit que ce dernier article était faux, et, sur ce que je lui en témoignai de la surprise, soutenant que des Russes même m'avaient assuré qu'il leur en coûtait toujours quelque belle pelleterie ou quelque autre nippe magnifique, il me répéta de nouveau que c'étaient des fanfaronnades russiennes, et qu'il n'y avait pas un mot de vrai; que lui même ayant été envoyé pour mettre la dernière main au traité de paix entre les deux cours,3 n'avait fait

[Berlin, 21. Januar 1755].4

Ich habe vergessen wegen den Bascha von Chozim.5 Ohngeachtet, was der Cagnony meinet, halte ich, es ist besser, man thut zu viel als zu wenig, und kann man eine goldene Repetiruhre mit Brillanten und bunte Steine, ohngefähr vor 1000 Thaler, kaufen und geben sie dem Menschen mit, um damit ein Präsent zu machen.

Friderich.



1 Vergl. Nr. 6604.

2 Vergl. S. 13.

3 Russland und die Türkei.

4 Das Datum erhellt aus dem des Berichts des Ministers und der Quittung des Haude. Am 22. Januar unterschreibt Haude eine von Eichel aufgesetzte Bescheinigung über den Empfang von zehn Gegenständen und fügt bei der Unterschrift eigenhändig als elften Gegenstand hinzu: „Eine goldene mit Brillanten besetzte Repetiruhr.“

5 Vergl. S. 19.