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Au reste, nulle nouvelle de dehors qui méritât que je vous en fisse communication, vu que les affaires publiques sont encore dans la même assiette qu'elles l'ont été.

Federic.

Nach dem Concept.


7086. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION JEAN-DIDIER DE MALTZAHN A HUBERTSBOURG.

Maltzahn berichtet, Hubertusburg 10. November, über die französisch-sächsischen Verhandlungen;1 „Le comte Broglie a eu une conversation de deux heures avec le comte Brühl et une autre encore avec le sieur Saul; mais ni l'un ni l'autre, à ce qui m'a paru, ne les a fort approchés … Le comte Broglie a envoyé ce matin un courrier à sa cour pour rendre compte de ce qu'il a fait. Le sieur Saul a été hier après le souper encore longtemps avec lui; mais il [Broglie] n'a pas l'air d'être plus satisfait, et il m'a dit qu'il croyait que ce serait le dernier courrier qu'il enverrait pour cette affaire.“

Potsdam, 18 novembre 1755.

J'ai reçu votre rapport du ro de ce mois. De la manière que je vois que la négociation du comte de Broglie commence à prendre la tournure, il ne faut pas désespérer que le premier ministre, par la crainte qu'il a de déplaire aux deux cours impériales, fera augmenter les anicroches, en sorte que, quand on présumera de cette négociation qu'elle est dans le meilleur train, les Saxons fourniront eux-mêmes l'occasion pour la faire rompre entièrement. En attendant, vous ne manquerez pas de continuer à me faire vos rapports là-dessus.

Federic.

Nach dem Concept.


7087. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Plotho berichtete, Regensburg 6. November: „Der königlich dänische hiesige Minister, der Baron von Moltke, eröffnete mir am letztverwichenen Montag im grössesten Vertrauen, wie unter Betrieb und Anstiften des Papstes zwischen den kaiserlich und katholischen Höfen im Reiche eine Ligue wolle errichtet werden, um die hessische Arrangements wegen des Erbprinzen von Hessen Religions Veränderung zu zernichten2 und überhaupt in allem denen Protestanten kräftigsten Gegenstand zu thun.“

Potsdam, 18. November 1755.

Ich sehe keine Apparence zu dergleichen Ligue, noch dass solche jemalen reussiren sollte.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



1 Vergl. S. 382.

2 Vergl. S. 355.