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7509. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION DE MALTZAHN A LEIPZIG.

Potsdam, 22 mai 1756.

Je ne vous fais la présente que pour accuser la bonne réception de votre dépêche du 19 de mois, touchant la distribution faite des 60,000 écus que la Steuer de Saxe a payés à mes sujets créanciers,1 dont j'ai été content.

J'ai de même reçu à mes mains propres le rapport que vous m'avez fait du 18, et j'ai ordonné que vous ayez ce que vous désirez en conséquence.

Federic.

Nach dem Concept.


7510. AU PRINCE FERDINAND DE BRUNSWICK A MAGDEBOURG.

Potsdam, 22 mai 1756.

Monsieur mon Cousin. J'ai reçu la lettre qu'il vous a plu me faire le 14 de ce mois,2 et je puis assurer Votre Altesse que mes sentiments envers le Duc régnant seront toujours inaltérables et au point que je serais bien aise de m'être trompé à son égard et de l'avoir soupçonné mal à propos;3 mais sans m'arrêter davantage sur une chose dont je ne veux plus me souvenir, après qu'elle a été si bien finie, Votre Altesse peut être persuadée que ma plus grande satisfaction sera toujours de trouver des occasions de faire plaisir au Duc et que mes sentiments répondront parfaitement à ceux qu'il veut bien me témoigner.

J'accuse d'ailleurs la bonne réception de la lettre du 15 que Votre Altesse a pris la peine de me faire en m'envoyant certaine quittance,4 et La remercie des soins qu'Elle a bien voulu avoir à cet égard. Je suis avec toute l'estime possible, Monsieur mon Cousin, de Votre Altesse le très affectionné cousin

Federic.

Nach dem Concept.


7511. AN DEN GROSSKANZLER VON JARIGES IN BERLIN.

Potsdam, 22. Mai 1756.

Mein lieber Grosskanzler und Geheimer Etatsminister von Jariges. Da Ich intentioniret bin, denenjenigen Kaufleuten, so bei den ehemaligen englischen Kapereien in vorigem Kriege gelitten haben, à raison desjenigen, so ihnen durch die vormals dazu angeordnet gewesene Commission vermittelst einer von solcher abgefassten Sentenz zuerkannt worden, ein Quantum von 120,000 Thaler5 zu ihrer Indemnisation aus-



1 Vergl. S. 341.

2 Diesem Schreiben des Prinzen war die Antwort des Herzogs von Braunschweig auf das Schreiben des Königs vom 8. Mai beigeschlossen. Dieselbe liegt nicht vor.

3 Vergl. S. 269. 316.

4 Vergl. S. 293.

5 Vergl. S. 233.