<406> l'Angleterre et à l'Hanovre.1 Sur quoi, vous me ferez ensuite votre rapport bien détaillé.

Federic.

Nach dem Concept.


7566. AN DEN ETATSMINISTER GRAF FINCKENSTEIN IN BERLIN.

Landgraf Wilhelm von Hessen-Cassel übersendet, Cassel 7. und 10. Juni, zwei Dankschreiben für die Aufnahme seines Sohnes, des Erbprinzen, in die preussische Armee. 2

[Potsdam, Juni 1756.]

Sehr obligeantes Compliment.3 Ich glaubte auch, dass Pretlack, nachdem er kein Objet von der Commission4 mehr habe, nun wohl abgehen würde.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs (praes. 13. Juni).


7567. AN DEN ETATSMINISTER GRAF FINCKENSTEIN IN BERLIN.

Feriet berichtet, Kopenhagen 5. Juni: „Au sujet du traité d'union maritime à conclure entre les cours de Stockholm et de Copenhague,5 et de l'avantage que la France semble s'en promettre, non seulement de tenir par là en bride la marine anglaise, mais de se flatter encore de l'espérance de pouvoir engager lesdites couronnes du Nord de laisser ses forces navales à sa solde contre des traités de subsides à conclure avec elles, je ne manquerai pas d'y être très attentif, toutefois avec les précautions nécessaires qu'il a plu à Votre Majesté de me prescrire,6 et de Lui rendre fidèlement compte de toute chose. Comme la France a réussi à faire équiper au Danemark une si belle et forte escadre, qui est si bien montée, qu'en outre bien des gens prétendent savoir que c'est la France qui a fourni l'argent nécessaire de cette escadre et qu'elle lui doit servir dans la guerre avec l'Angleterre, il se pourrait bien que la France ait fait proposer à la cour de Danemark de prendre ces forces navales à sa solde, mais il n'est guère vraisemblable que la dernière voulût s'aveugler sur ses véritables intérêts jusques à un tel point pour y donner les mains, et s'exposer par là aux inconvénients d'une guerre où elle ne saurait manquer d'avoir le dessous et de voir au moins les Anglais s'acquérir la franchise dans le péage du Sund, dont les Danois ont été toujours si jaloux.“

Potsdam, 13. Juni 1756.

Bei Uebersendung des beikommenden Paquets mit verschiedenen von des Königs Majestät an Ew. Excellenz adressirten Briefen7 habe zugleich auf allergnädigsten Befehl Deroselben beiliegenden Extract eines an Se. Königl. Majestät von sehr guter und wohl intentionirter Hand gekommenen Schreibens zusenden und zugleich vermelden [sollen], dass Ew. Excellenz den darin enthaltenen Gedanken dem englischen Minister Mitchell communiciren und allenfalls den Extract selber lesen lassen möchten, um sich den Einhalt davon um so besser imprimiren und notiren, auch seinen guten Gebrauch davon machen zu können.



1 Vergl. Bd. X, 49. 207; Bd. XI, 228. 434.

2 Vergl. S. 372.

3 Vergl. S. 416.

4 Vergl. S. 368.

5 Vergl. S. 395.

6 Ministerialerlass vom 29. Mai.

7 Vergl. Nr. 7566.