<471> principale dont vous êtes chargé, lequel aussi vous ne manquerez pas de suivre purement. Que, si ledit ambassadeur était d'avis que votre commission pourrait avoir quelque succès, vous verrez pour combien vous y pourrez réussir. Mais, si ce ministre d'Angleterre vous dissuadait de tenter quelque chose et était du sentiment que vous pourriez vous en retourner, en ce cas-là vous le consulterez pour savoir de lui comment et par quelle voie la plus sûre vous sauriez retourner, et vous retournerez effectivement.

Si, cependant, l'ambassadeur de l'Angleterre trouvait bon que vous vinssiez à Constantinople, vous vous y acheminerez et vous vous y dirigerez simplement sur ses sentiments, en tâchant néanmoins, autant que vous pourrez, de vous mettre au fait de la façon de penser du Sultan, tout comme de celle des ministres et des bachas qui ont part au gouvernement des affaires de la Porte.

Federic.

Nach dem Concept.


7620. AU MINISTRE D'ÉTAT COMTE DE FINCKENSTEIN A BERLIN.

Finckenstein berichtet, Berlin 28. Juni: „J'ai l'honneur d'envoyer ci-joint à la signature de Votre Majesté les ordres qui ont été dressés suivant Ses gracieuses intentions tant à Son ministre d'État le sieur de Plotho à Ratisbonne qu'à Son conseiller privé le sieur Hecht à Hambourg, aussi bien qu'au résident d'Ammon à Cologne, touchant les insinuations qu'ils doivent faire adroitement, quant à la ligue que la cour de Vienne s'est proposé de former entre les principaux princes de l'Empire au préjudice de la religion protestante.1 Comme Votre Majesté a eu la bonté de me faire renvoyer une lettre qui Lui a été adressée de la part du landgrave régnant de Hesse-Cassel,2 je n'ai pas à la vérité manqué de faire insérer dans les susdits ordres les justes plaintes que ce Prince a formées contre le procédé tout-à-fait extraordinaire que la cour de Vienne tient envers lui, et de le faire valoir comme une nouvelle preuve du despotisme qu'elle veut s'arroger dans l'Empire.“

Finckenstein erbittet in Betreff des mit mündlicher Resolution ihm zugegangenen Schreibens des Landgrafen von Cassel vom 21. Juni3 die Entscheidung des Königs, ob dem Landgrafen auf seine Anfragen und Wünsche zustimmend geantwortet werden solle.

[Potsdam, juin 1756.]

Très bien.4

Federic.

Nach der eigenhändigen Aufzeichnung in dorso des Berichtes.


7621. AN DEN ETATSMINISTER GRAF FINCKENSTEIN IN BERLIN.

Potsdam, 28. Juni 1756.

Auf Sr. Königl. Majestät allergnädigsten Befehl soll Ew. Excellenz ich sogleich anliegendes Mémoire raisonné von Höchstderoselben zu-



1 Vergl. S. 423.

2 D. d. Cassel 21. Juni. Vergl. S. 467.

3 Vergl. Nr. 7616.

4 Demgemäss deutsches Kanzleischreiben an den Landgrafen von Cassel, d. d. Berlin 3. Juli, und Ministerialerlasse an Feriet und Michell, d. d. Berlin 3. Juli, betreffend die vom Kaiser zu erbittende Bestätigung der hessischen Assecurationsacte.