<264> decidiren wird. Wann es der göttlichen Providence gefallen hätte, die Gedanken der Kaiserin-Königin dahin zu lenken, dass dieselbe darin nur positive und ohne Chevilles declarirete, des Königs Majestät weder dieses noch künftiges Jahr offensive zu attaquiren, so bin ich persuadiret, dass, ohnerachtet hier die Maschine schon stark in Bewegung gesetzet ist, dennoch alles auf einmal sistiret und der Friede noch conserviret werden und alles ruhig bleiben wird. Fiele aber erwähnte Antwort nicht dergestalt aus, so ist es geschehen und nichts mehr zu arretiren. Welches Ew. Excellenz vor mich aus treuer und wohlgemeineter Intention vermelde.

Eichel.

P. S. I.

Die communicirete Anlagen erbitte von Ew. Excellenz mir insgesammt fordersamst zurück.

P. S. II.

Es haben des Königs Majestät befohlen, dass dem Herrn Mitchell der gestern eingegangene Bericht des Herrn von Knyphausen vom 12. dieses1 nebst der Einlage von Ew. Excellenz communiciret werden solle, welches hierdurch melde.

Eichel.

12 août 1756.2

Le bruit qui s'était répandu de l'assemblée d'un camp sur les rives de la Meuse, est entièrement tombé. Je viens à la vérité d'être averti que plusieurs d'entre les régiments qui sont de retour de Minorque, ont ordre de marcher; mais comme c'est pour l'intérieur du royaume, et que leur destination ne regarde point la frontière, cette démarche paraît mériter peu d'attention.

Nach der Ausfertigung.


7894. A LA MARGRAVE DE BAIREUTH A BAIREUTH.

[Potsdam], 23 [août 1756].

Ma très chère Sœur. J'ai reçu votre lettre avec bien du plaisir, puisqu'elle est une marque du rétablissement de votre santé. Je suis bien fâché, ma chère sœur, que vous ne soyez pas contente de la nouvelle Jérusalem.3 Je crois que le séjour d'Erlangen, tant pour l'air que pour l'agrément, vous conviendra mieux que celui de Baireuth.

J'attends ici la réponse de la reine de Hongrie qui va décider de la paix ou de la guerre; je voudrais l'avoir déjà reçue, pour savoir à quoi m'en tenir, n'ayant rien de plus inquiétant dans le monde que l'incertitude. Daignez me conserver votre précieuse amitié et soyez persuadée de la parfaite tendresse avec laquelle je suis, ma très chère sœur, votre très fidèle frère et serviteur

Federic.

Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.



1 Vergl. Nr. 7898.

2 Aus dem an den König allein gerichteten Immediatbericht Knyphausen's, d. d. Compiègne 12. August.

3 Das neue Schloss des Markgrafen.