8167. AN DAS DEPARTEMENT DER AUSWÄRTIGEN AFFAIREN.

Podewils und Finckenstein berichten, Berlin 28, September, dass sie die aus der dresdener Cabinetskanzlei entnommenen Staatspapiere, in erster Linie den Partagetractat vom 18. Mai 1745, dem Marquis Valory vorgelegt haben, um ihn von der Nothwendigkeit des preussischen Einmarsches in Sachsen zu überzeugen: „Mais nous ne saurions cacher à Votre Majesté que, malgré cela, il a soutenu que toutes ces découvertes n'avaient pas pu L'autoriser à en agir, ainsi qu'il s'est exprimé, avec le roi de Pologne d'une manière si dure et si violente, et qu'un ressentiment poussé aussi loin, dont il y avait peu ou point d'exemple, ne manquerait pas de révolter contre Votre Majesté toute l'Europe et toutes les têtes couronnées … Quant à la cour de Vienne et la chaleur avec laquelle la France va la secourir contre Votre Majesté, nous avons fait souvenir le marquis de Valory des marques éclatantes et importantes d'amitié que Votre Majesté avait données ci-devant à Sa Majesté Très Chrétienne, et nous lui avons rappelé entre autres à cette occasion le zèle et l'empressement avec lesquels Votre Majesté avait volé en 1744 au secours de la France, pour lui sauver l'Alsace;502-1 qu'il devait donc être bien douloureux pour Votre Majesté de voir qu'en suite d'une alliance purement défensive et dans un temps où l'on ne pourrait jamais regarder Votre Majesté comme agresseur, cette couronne faisait assembler avec tant de précipitation son contingent auxiliaire502-2 en faveur de la cour de Vienne, sans attendre même à cet égard préalablement la réquisition de la dernière, pour faire employer ensuite ces troupes contre les Etats de Votre Majesté. Le marquis de Valory a répondu là-dessus que Votre Majesté voudrait bien Se souvenir qu'il Lui avait déjà notifié au commencement du mois de juin passé par ordre de sa cour la conclusion du traité de Versailles,502-3 et ensuite au mois de juillet,502-4 à l'occasion des grands armements de Votre Majesté, que le Roi son maître ne pouvait s'empêcher d'accomplir religieusement ses engagements et le plus promptement qu'il lui était possible, en cas que Votre Majesté attaquait les États de l'Impératrice-Reine, en récapitulant à cet égard tout ce que le sieur de Rouillé a déclaré au baron de Knyphausen.“ 502-5

Lobositz, 6. October 1756.

Ich bin nicht der Agresseur, obschon Ich gezwungen worden bin, die ersten Feindseligkeiten zu begehen. Es muss ihnen nur dieserwegen sowohl als wegen der Sachsen alles repetiret werden, was Ich verschiedentlich vorhin gesaget und suppeditiret habe.502-6 Wollen die Franzosen nichts davon einsehen und annehmen, so ist es ein Zeichen, dass sie viele üble Volonté gegen Mich haben und ganz präoccupiret durch die Oesterreicher gegen Mich sein, wovor Ich nicht kann.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs,

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502-1 Vergl. Bd. III, 398.

502-2 Vergl. S. 435.

502-3 Vergl. Bd. XII, 408.

502-4 Vergl. S. 133.

502-5 Vergl. S. 424. 425.

502-6 Vergl. Nr. 7928. 7936.