<261>lassen habe und in dergleichen Mir nicht genugsam bekanntes Detail nicht vor Mich alleine entriren kann.

Friderich

Nach dem Concept.


8599. AU CONSEILLER PRIVÉ VON DER HELLEN A LA HAYE.

Dresde, 9 février 1757.

J'ai reçu vos rapports du 31 de janvier dernier et du 1er de ce mois, et je ne saurais m'empêcher de vous rendre justice sur la bonne conduite que vous avez tenue jusqu'à présent en tout et particulièrement concernant l'affaire de l'augmentation des troupes de la République.1

Comptez que je suis bien satisfait de vous. Vous avez fait, on ne saurait mieux, en déclarant aux régents de la République que Sa Majesté Britannique et moi nous étions concertés et entendus sur une armée d'observation à assembler du côté du Rhin,2 et vous mettrez le comble à votre bonne conduite en continuant d'agir avec cette même prudence active que jusqu'ici j'ai remarquée en vous, non sans beaucoup de satisfaction.

Les brochures qu'on a eu l'impudence téméraire de vous adresser de temps en temps, ne sont absolument que de grandes misères et des infamies malicieusement controuvées, qui ne sauraient émouvoir qu'à indignation tout ce qu'il y a d'honnêtes gens.

Il résulte de là qu'elles ne méritent qu'un souverain mépris et qu'il n'en vaudrait la peine d'y riposter qu'au cas qu'il se trouvât quelqu'un de propre à le faire, et qui en même temps pût faire paroli aux indignes auteurs de ces lourdes infamies, en leur disant de grièves injures, pour les couvrir de toute la honte qu'ils méritent à si juste titre.3

Federic.

Nach dem Concept.


8600. AU CONSEILLER PRIVÉ VON DER HELLEN A LA HAYE.

Dresde,11 février 1757.

P. S.

Après avoir fini ma dépêche,4 je viens de recevoir celle que vous m'avez faite du 4 de ce mois. Je vous sais gré des nouvelles que vous m'avez communiquées au sujet de la confidence qu'on vous a faite de ce que les dernières lettres du sieur de Swart ont marqué,5 mais surtout de ce que vous m'avez mandé des arrangements militaires en France;6 auquel sujet je vous réitère ce que je vous ai déjà écrit,7 savoir que



1 Vergl. S. 241.

2 Vergl. S. 229.

3 In der gleichen Weise bescheidet eine „Mündliche allergnädigste Resolution“ vom 10. Februar das Departement der Auswärtigen Affairen über die von Hellen eingesandten Broschüren.

4 Nr. 8599.

5 Der Greffier Fagel hatte dem preussischen Geschäftsträger mitgetheilt, dass, nach den letzten Berichten Swart's aus Petersburg, Apraxin Befehl erhalten habe, so bald wie möglich gegen Ostpreussen vorzugehen, doch leide die russische Feldarmee noch an allem Nothwendigen Mangel. Vergl. S. 244. 245.

6 Diese Nachrichten sind wiedergegeben in dem Immediaterlass an Michell vom 11. Februar Nr. 8603.

7 Vergl. S. 249.