<461> Seite und was von jener Seite geschehen wird, um auf alles vollenkommen instruiret zu sein. Ich bin Ew. Liebden freundwilliger Vetter

Ich recommandire bei dieser Entreprise die schärfste Discipline; ich will durchaus nicht, dass Plündereien verstattet werden, wodurch Unordenung, Libertinage und Desertion erfolget. Sie müssen das Corps in der schärfsten Mannszucht halten und mir sowohl vor der Execution als auch der strengsten Discipline bei dem Corps repondiren.

Friderich.

Nach der Ausfertigung. Der Zusatz eigenhändig.


8812. AN DEN GENERALLIEUTENANT PRINZ MORITZ VON ANHALT-DESSAU IN ZWICKAU.

Lockwitz, 3. April 1757.

Durchlauchtiger Fürst, freundlich lieber Vetter. Ich gedenke den 6. dieses Monates in Freiberg zu sein1 und verlange sodann Ew. Liebden allda zu sprechen. Daher es Mir dann sehr angenehm sein wird, wenn Dieselbe Sich dergestalt einrichten werden, dass Sie Meiner den 6. dieses des Morgens früh allda erwarten. Ich bin Ew. Liebden freundwilliger Vetter

Friderich.

Nach der Ausfertigung im Herzogl. Haus- und Staatsarchiv zu Zerbst.


8813. A LA COMTESSE DE BRÜHL, NÉE DE KOLOWRAT, A DRESDE.

Lockwitz, 3 avril 1757.

Madame la Comtesse de Brühl. Comme je désire véritablement de pouvoir toujours vous continuer l'estime que j'ai eue par le passé, et que j'ai encore actuellement pour vous, je souhaite sincèrement que vous soyez aussi innocente que vous le dites, et que vous ne soyez point mêlée dans ces complots qui nouvellement viennent d'éclore;2 cependant, dans la situation présente des affaires, je suis persuadé qu'il vaudra toujours mieux pour vous de prendre votre séjour en Pologne,3 où vous pourrez vous faire accompagner de vos petits-enfants, et vous congédier de la Reine et de la famille royale par écrit.

Je vous ferai donner les relais nécessaires pour votre voyage de Pologne par Bautzen, Gcerlitz, Liegnitz, Breslau; l'officier qui vous accompagnera après-demain, n'ira que jusqu'à Liegnitz, et, pour ne point exposer votre personne, je vous donnerai une escorte de deux hussards.



1 Der König ging nach Freiberg, um dem Prinzen Moritz persönlich Mittheilung von dem Feldzugsplane zu machen und ihm seine Aufgabe für den Einbruch in Böhmen zuzuweisen.

2 Vergl. S. 450. 451. 496. 497.

3 Vergl. Nr. 8804.