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quent trop la faiblesse et l'abâtardissement où l'on est tombé ici.1 pour me dispenser d'y faire un commentaire.“ . . .

feld besorgen,2 sowie desgleichen den Verkauf von dem Pulver, und würde es Sr. Königl. Majestät lieb sein, wenn solcher in Engelland bald zu Stande käme.3

Die französische Antwort nach der eigenhändigen Aufzeichnung in dorso des Berichts; die deutsche nach der ebendaselbst befindlichen mündlichen Resolution, vom Cabinetssecretär aufgezeichnet. 4


8882. AU PRINCE HENRI A NEUSTADT.

[Ottendorf,] 20 [avril 1757].

Mon cher Frère. Vous marcherez le 21 avec vos 7 bataillons à Cotta. Vous enverrez les hussards et dragons tout droit à Gottleube sous les ordres du prince Ferdinand de Brunswick.5 Les fourriers de l'infanterie se rendront à 10 heures du matin auprès de Cotta. Vous et la colonne marcherez ainsi que tout le bagage pourra entrer à 11 heures dans le camp de Cotta. Je joins ici l'ordre de bataille. Adieu, je vous embrasse.

Federic.

Nach der Ausfertigung. Eigenhändig.


8883. AU LIEUTENANT-GÉNÉRAL COMTE DE SCHMETTAU A HANOVRE.

Schmettau berichtet, Hannover 17. April: „Le duc de Cumberland étant arrivé le 16 à midi ici,6 il m'a donné son. audience encore avant de se mettre à table; et, avant qu'il me donna le temps de lui faire les compliments de la part de Votre Majesté et ce qu'Elle m'ordonne de lui dire, il me dit qu'il était arrivé ici pour commander cette armée, et que je devais assurer Votre Majesté de sa part qu'il en agirait avec dextérité en bon ami, serviteur et parent de Votre Majesté partout et en tout, autant que les forces de son armée le permettraient; et qu'il en agirait toujours en toutes occasions, selon que le bien des deux Etats et des provinces de Leurs Majestés le requerrait.

Sur quoi, j'eus le temps de dire ce que Sa Majesté m'ordonne par Ses ordres

Ottendorf, 20 avril 1757.

J'ai été très aise de voir, par la lettre que vous m'avez faite du 17, l'heureuse arrivée du duc de Cumberland à Hanovre, et les sentiments d'amitié qu'il vous a marqués [tant] à mon égard qu'à l'égard de la cause commune, m'ont donné beaucoup de satisfaction;7 ce que vous ne laisserez pas de réciproquer envers lui de ma part en termes les plus polis que vous saurez imaginer.

J'ai d'ailleurs appris avec satisfaction qu'il vous a parlé d'abord; quand même il ne voudrait s'a-



1 Vergl. S. 494..

2 Vergl. S. 494.

3 Vergl. S. 407.

4 Auf Grund dieser beiden Antworten Immediaterlass an Hellen, d. d. Ottendorf 2x. April.

5 Vergl. Nr. 8880.

6 Vergl. S. 500. 501.

7 Vergl. S. 501.