8297. AU CONSEILLER PRIVÉ VON DER HELLEN A LA HAYE.

Sedlitz, 5 novembre 1756.

J'ai bien reçu votre rapport du 29 d'octobre dernier, et je ne saurais assez vous recommander de travailler de votre mieux et avec toute l'application humainement possible et tout le savoir-faire et zèle dont je vous connais capable, et sais que vous avez pour mon service, sur la conciliation des différends qui subsistent malheureusement jusqu'ici entre l'Angleterre et la République;17-1 à l'effet de quoi vous ferez de part et d'autre toutes les représentations convenables, en faisant envisager les tristes suites qui en résulteraient nécessairement, si l'on ne pensait pas bientôt à une bonne conciliation des différends en question et à un concert à prendre pour le bien de la cause commune, en quoi vous me rendrez le service le plus signalé.

Federic.

Nach dem Concept.



17-1 Vergl. Bd. XIII, 612.