8587. AU CONSEILLER PRIVÉ VON DER HELLEN A LA HAYE.

Dresde, 6 février 1757.

La correspondance que j'ai eue en France, venant d'être interrompue pour un temps, et comptant que vous vous trouvez à portée, là où vous êtes, de vous procurer des nouvelles de ce pays-là, je désire de vous que vous me marquiez tout ce que vous pourrez vous procurer de connaissances, tant concernant la personne de Sa Majesté Très Chrétienne249-1 que la cour de France, de même que le militaire et en général les affaires de ce royaume.

Federic.

Nach dem Concept.



249-1 Vergl. S. 227.