8820. AU DUC RÉGNANT DE BRUNSWICK A BRUNSWICK.

Lockwitz, 5 avril 1757.

Monsieur mon Frère et Cousin. La bonté que Votre Altesse a bien voulu avoir de me communiquer, par Ses deux lettres du 29 du mois précédent, les nouvelles ultérieures qui Lui sont venues,468-3 m'a fait un<469> plaisir d'autant plus sensible que je les ai trouvées tout-à-fait intéressantes et également satisfaisantes. Je prie Votre Altesse d'en accepter tous mes sentiments de reconnaissance.

Il serait bien à désirer que la république de Hollande ouvrît une bonne fois les yeux sur sa sûreté et sur ses véritables intérêts,469-1 en voyant approcher de plus en plus le danger d'elle, afin que nous saurions gagner plus d'air, ce que je pense pourtant qu'il se fera bientôt en un ou autre lieu. Votre Altesse sera persuadée de l'amitié vive et sincère avec laquelle je suis, Monsieur mon Frère et Cousin, de Votre Altesse le bon frère et cousin

Federic.

Nach dem Concept.



468-3 Diese im Anschluss an das Schreiben vom 29. März übersandten Nachrichten aus Brüssel liegen nicht mehr vor.

469-1 Vergl. S. 332. 343.