<225> et ne manquerai pas de faire faire mes représentations les plus pressantes partout où il convient, afin de prendre de justes mesures pour notre conservation. De ma part, je n'omettrai rien pour en donner l'exemple, et ferai certainement mes derniers efforts pour résister à nos ennemis, qui, de la manière la plus injuste et la plus criante, prennent à tâche de vouloir nous opprimer.

Votre Altesse voudra agréer les sentiments invariables de l'amitié la plus parfaite et de la plus haute considération avec lesquels je serai à jamais, Monsieur mon Cousin, de Votre Altesse le bon et très fidèle cousin

Federic.

Nach Abschrift der Cabinetskanzlei.


9177. AU MINISTRE D'ÉTAT ET DE CABINET COMTE DE PODEWILS A BERLIN.

Leitmeritz, 8 juillet 1757.

Mon cher comte de Podewils. Je1 savais déjà tout ce que vous me mandez par votre rapport du 2 de ce mois. Vous et le duc de Cumberland avez pris le change.2 C'était un leurre que ce détachement qui voulait passer par Rinteln.3 Les Français ne penseront à passer le Wéser que lorsque l'armée de l'Empire ou les Suédois seront à portée de les joindre. Et, sur ce, je prie Dieu etc.

Federic.

Nach der Ausfertigung.


9178. AN DEN GEHEIMEN RRIEGSRATH EICHEL IN LEITMERITZ.

Der Kammerpräsident Lentz berichtet, Aurich 28. Juni, die Franzosen seien am vorangegangenen Tage in Ostfriesland eingerückt. „Es ist ein Unglück, dass jetzo kein englisches Schiff in dem Emdischen Hafen lieget, und wegen lang angehaltener trockener Zeit die See so niedrig ist, dass sie nicht bis an den Fuss unserer Deiche kommt.“

Leitmeritz, 8. Juli 1757.

Ministère diesen Umstand, und was Lentz vorhin davon geschrieben,4 communiciren; auch ihm das nöthige desfalls insinuiren.

Mündliche Resolution. Nach Aufzeichnung des Cabinetssecretärs.



1 In dorso des Berichts des Grafen Podewils vom 2. Juli findet sich eine eigenhändige Weisung für den expedirenden Cabinetssecretär, welche, mit dem Erlass fast wörtlich übereinstimmend, demselben zu Grande liegt.

2 Vergl. Nr. 9175.

3 Vergl. S. 224. Anm. 2.

4 Am 21. Juli hatte Lentz berichtet, dass der Capitän des englischen Kriegsschiffes Squirrel, dessen Ankunft in Emden Lentz am 14. Juni gemeldet hatte, wieder fortgesegelt sei, um an dem Ausfluss der Weser zu kreuzen.