<192> Möglichkeit trainiren solle, als machen höchstgedachte Se. Königl. Majestät Dero dirigirenden Ministern des Generaldirectorii Deroselben höchstes Missfallen über oberwähnten Vorfall hierdurch bekannt, mit Befehl, hinfüro überall und insonderheit die Kammern, Landräthe und Magisträte dererjenigen Provinzien, so bei ein oder andern Fällen feindlichen Anforderungen exponiret sein können, besser als bishero zu instruiren, dass selbige auf den Fall feindlicher Anforderungen und Exactionen nicht so gar facil mit deren Prästationen sein, noch sich dazu verstehen, sondern vielmehr nichts abgeben, noch liefern und es darunter bis zur letzten Extrémité ankommen lassen sollen, widrigenfalls diejenigen, so aus einer unzeitigen Furcht so gar facil sein und dagegen handeln werden, gewärtigen sollen, dass sie deshalb selbst vor ihre Person davor responsable bleiben, noch jemalen einige Remission oder Hülfe darunter zu gewärtigen haben sollen.

Friderich.

Nach dem Concept.


9716. AU SECRÉTAIRE MICHELL A LONDRES.

Breslau, 22 janvier 1758.

Je veux bien vous donner en réponse sur ce que vous me marquez, par votre post-scriptum du 23 de décembre dernier,1 de certaine usance observée par telle ou autre puissance qui a tiré des subsides de l'Angleterre, savoir que je n'en avais aucune connaissance jusqu'ici, mais qu'indépendamment de cela, j'ai mes raisons pour lesquelles je serais bien aise de ne point me prêter justement à cette usance, vu ma situation présente et le grand nombre d'ennemis contre lesquels je me vois nécessité de faire jusqu'aux derniers efforts.

En attendant, vous n'avez qu'à vous en remettre sur cela à ma générosité et compter sur un présent convenable de ma part, selon que les circonstances présentes le permettent, et je vous donnerai par là une marque de la satisfaction sensible que j'ai des bons et fidèles services que vous m'avez Tendus jusqu'à présent.2

Federic.

Nach dem Concept.


9717. AU FELD-MARÉCHAL DE KEITH.

Breslau, 23 janvier 1758.

Mon cher Maréchal. Comme je vois, par les rapports de mon ministre de Borcke, que les États de la Saxe continuent toujours leurs



1 Michell hatte berichtet, es sei am englischen Hofe Gebrauch, dass ein jeder fremder Gesandter, der einen Subsidienvertrag mit England zeichne, von Seiten seines Souveräns ein Procent der Subsidien empfange; man hoffe, der König würde ihm diese Vergünstigung nicht abschlagen.

2 Auf einen Bericht von Finckenstein, d. d. Breslau 22. Januar, verfügt der König, ebenfalls am 22. Januar, in Form einer „mündlichen Resolution“ , die Subsidien mögen in zwei Terminen und, wo möglich, in Gold ausgezahlt werden.