<252> and that, if the King's army could have been ready to act any time in the month of January, he would have gone, but that the season was now too far advanced for him to be absent, especially as there was nobody here he could trust with the command of the army during his absence.

When I communicatéd the intelligence in Your Lordship's letter of the 3rd February,1 the King of Prussia said, his enemies should not find it so easy to crush him as they had imagined, that he would stand it to the last, and was not to be vanquished by treaties ...“

Nach dem Concept im British Museum zu London.


9783. AU LIEUTENANT-GÉNÉRAL COMTE DE DOHNA.

Breslau, 18 février 1758.

Je vous remercie de la communication confidente que vous me faites par votre lettre du 12 de ce mois, et je dois vous dire que je connais très bien l'officier sue'dois dont il y est question;2 que je le tiens pour honnête homme, mais qui est entièrement dévoué au parti de la cour.

Ce dernier souhaite avec zèle d'employer tous les moyens possibles pour rétablir la cour dans toute son autorité; mais, bien que tous les projets pour y réussir paraissent plausibles, l'exécution n'a point encore Tépondu à l'attente.

En attendant, il faudra voir l'usage que je pourrai faire de l'idée du susdit officier, et, au cas d'une bonne réussite, il pourra compter sur une parfaite reconnaissance de ma part.

Federic.

Nach dem Concept.


9784. AU SECRÉTAIRE MICHELL A LONDRES.

Breslau, 18 février 1758.

Je viens de recevoir vos deux dépêches du 31 de janvier et du 3 de ce mois. Les raisonnements que vous y faites pour me faire sentir l'impossibilité de porter le ministère britannique à l'envoi d'un corps de troupes anglaises en Allemagne, ne sont pas du tout de nature à me



1 Frankreich und Oesterreich sollten am 15. Januar einen neuen Vertrag geschlossen haben, mit der Festsetzung, die Waffen nicht niederzulegen, als bis sie den König von Preussen gezwungen hätten, alles anzunehmen, was sie vorschreiben würden.

2 Ein schwedischer Major Dürgetz, der den ersten schlesischen Krieg als Freiwilliger im preussischen Heere mitgemacht, hatte. wie Graf Dohna, Greifswald 12. Februar meldet, um eine Unterredung nachgesucht; er hatte hier die Meinung ausgesprochen: wenn England eine geeignete Persönlichkeit mit annehmbaren Vorschlägen nach Stockholm sende, so liesse sich ein Frieden zwischen Schweden und Preussen leicht vereinbaren. — Am 16. Februar sandte Eichel auf königlichen Befehl eine Abschrift des Berichts von Dohna an den englischen Gesandten Mitchell.