<383> das Fort Nr. 1 attaquiren und wegnehmen1 und dadurch der Sache einmal ein Ende machen sollte; denn Ich es nachgerade sehr müde wäre.

Weisungen für die Antwort; auf der Rückseite des Berichts von Treskow, d. d. Kloster Würben 13. April.


9934. AU GÉNÉRAL DE L'INFANTERIE PRINCE FERDINAND DE BRUNSWICK.

Grüssau, 14 avril 1758.

Monsieur mon Cousin. J'ai été agréablement surpris de la nouvelle que Votre Altesse m'a marquée par Sa lettre du 7 de ce mois de la résolution prise en Angleterre de faire passer la mer à 8 ou 900 hommes de troupes anglaises, pour servir de garnison et de défense à la ville d'Emden2 et aux autres endroits de ma province d'Ost-Frise.

Comme j'y reconnais parfaitement la bonne volonté de Sa Majesté Britannique, et que ces sortes de démonstrations sont toujours bonnes, mon seul embarras est de trouver présentement parmi mes officiers de rang quelqu'un dont je pourrais me passer, pour l'envoyer à Emden et dans l'Ost-Frise, afin d'y prendre la fonction de commandant. C'est pourquoi je me confie uniquement là-dessus à Votre Altesse et vous prie de vouloir bien vous charger de diriger de vos instructions et de vos ordres le commandant des susdites troupes, le colonel Brudenell, pour la sûreté et la défense de madite province, conformément à mon service et aux intentions déclarées du roi d'Angleterre. Mes intérêts seront par là en d'aussi bonnes mains que si j'y avais envoyé exprès quelque officier de ma part, pour y veiller sur ce qu'il y aurait à faire, dans le cas que l'ennemi voudrait tenter quelque nouvelle entreprise contre cette province, et je vous en aurai une obligation particulière; étant d'ailleurs avec des sentiments de la plus parfaite estime, Monsieur mon Cousin, de Votre Altesse le bon cousin

Federic.

Nach der Ausfertigung im Kriegsarchiv des Königl. Grossen Generalstabs zu Berlin.


9935. AN DEN GENERALFELDMARSCHALL PRINZ MORITZ VON ANHALT-DESSAU.

Grüssau, 14. April 1758.

. . . Was3 das Dorf Wernersdorf betrifft, so begreife Ich nunmehr bei der Mir gemeldeten Situation desselben Selber ganz wohl, dass es nicht rathsam ist, selbiges zu besetzen; Ich muss aber Ew. Liebden bitten, dem Feinde als ein unruhiger Nachbar alle Tage was neues zu machen, damit er beständig amusiret werde und nicht wissen könne, wann wir ihm auf dem Halse gehen wollen. So viel ist gewiss, dass sie zwischen Königgrätz und Jaromirs ein Lager ausgestochen



1 Fort Nr. 1 ist das oben (S. 374) genannte Galgenfort.

2 Vergl. S. 380.

3 Im Eingange dankt der König für zugeschickte Deserteure.