<167> in der Declaration, so des Königs Majestät bei Dero Zurückkunft von Zorndorf gethan, gründet, dass nämlich Sie, von dem Grade eines Obristen an, Sich an keinen Rang noch Ancienneté wegen derer Generals mehr binden, sondern darunter so nehmen würden, wie Sie glaubten, dass in gegenwärtigem Kriege es die Umstände und der Dienst erforderte. Welches Sie dermalen sowohl bei der hiesigen als sächsischen Armee und, wo ich nicht irre, auch Dohna'schen Corps bei der Parole publiciren lassen, damit in vorkommenden Fällen sich niemand darüber beschweren könne. Es hat dieses zwar anfänglich einige Motus gemachet; des Prinzen Karl von Bevern Durchlaucht seind auch darüber aus dem Dienst gegangen, des Königs Majestät aber haben Dieselbe eher verlieren, als darunter nachgeben wollen1 . . .

Eichel.

Nach der Ausfertigung.


10867. AU PRINCE FERDINAND DE PRUSSE A SCHWEDT.

Landshut, 12 avril 1759.2

Je ne saurais que vous remercier des deux lettres que vous m'avez écrites du 5 et du 9 de ce mois, par lesquelles vous continuez à me donner des nouvelles de l'état de votre santé, et je suis pénétré de chagrin que, bien loin de vous trouver soulagé, elle semble empirer. Je vous prie, mon très cher frère, de vous tranquilliser de ne pas être à même de pouvoir faire la campagne présente, l'état actuel de votre santé s'y opposant. Ce sont là des accidents auxquels est sujette la nature humaine, et je vous conjure de réfléchir que vous ne feriez que différer votre guérison en vous attachant trop à l'idée de votre situation présente. Soyez donc tranquille à cet égard, tâchez de regarder tout avec indifférence, afin de pouvoir vous flatter qu'à la venue de l'année prochaine vous pourrez d'autant mieux disposer de vous-même et de votre louable penchant. Je viens, au reste, d'écrire à Cothenius de vous aller trouver pour un couple de jours. Je suis avec l'amitié la plus tendre etc.

Ayez patience, mon cher, pourvu que vous ne mourriez pas, ce sera ce que vous pourrez faire de mieux; mais, pour Dieu! ne vous



1 Vergl. auch „Publicationen aus den Preuss. Staatsarchiven“ Bd. 22, S. 227. 477. 478 und das Schreiben des Königs an Prinz Ferdinand von Braunschweig, Rohnstock 31. März, bei Westphalen a. a. O. Bd. III, S. 255.

2 In einem vorangehenden Schreiben, Bolkenhain 9. April, hatte der König für die Mittheilungen über das Befinden seiner Schwester, der Markgräfin von Schwedt, gedankt; er hatte die Hoffnung ausgesprochen, dass es mit der Gesundheit des Prinzen Ferdinand besser gehen werde, wenn die Jahreszeit erlauben werde, die Bäder zu gebrauchen; „vous aurez pour lors la bonté d'y arranger votre voyage à petites journées et de manière a n'en point ressentir de fatigue, vous bornant à faire trois à quatre lieues par jour; article que je vous recommande beaucoup.“