<168> chagrinez pas de choses qui ne sont pas en votre pouvoir d'empêcher. Si vous m'aimez, prenez soin de votre santé.

Federic.1

Nach der Ausfertigung im Königl. Hausarchiv zu Berlin. Der Zusatz eigenhändig. (Im Haasarchiv auch die Ausfertigungen der in den Anmerkungen erwähnten Schreiben.)


10868. AU SECRÉTAIRE VON DER HELLEN A LA HAYE.

Landshut, 12 avril 1759.

Votre rapport du 3 de ce mois m'est bien entré.2 J'en approuve le contenu, mais il me semble que vous ne vous y soyez pas pris adroitement de faire partir l'officier en question à la sourdine de vos lieux; car il aurait mieux valu qu'il eût déclaré hautement et sans détour qu'il comptait faire la campagne en volontaire à l'armée russienne, et qu'il eût écrit de La Haye au maréchal Fermor, pour avoir la permission de s'y rendre.3

Federic.

Nach dem Concept.


10869. AU SECRÉTAIRE BENOÎT A VARSOVIE.

Landshut, 12 avril 1759.

J'ai reçu votre rapport du 4 de ce mois,4 et vous ne manquerez pas de faire un compliment convenable au sieur Gadomsky de ma part et de l'assurer de toute ma reconnaissance, quand l'occassion s'y présenterait; vous n'omettrez pas non plus de me faire parvenir sans délai



1 Einem folgenden Schreiben an den Prinzen vom 20. April fügt der König eigenhändig hinzu: „Ayez, mon cher frère, tous les soins imaginables de votre santé“ ; einem Schreiben vom 24., in welchem der Prinz zur Geduld ermahnt wird: „Nos affaires prennent un bon train en Bohême; pour ici, il ne s'y passe rien de nouveau.“ Am 27. sendet der König dem Bruder ein ärztliches Gutachten und lässt ihm schreiben: „Vous ferez bien d'adopter le régime qui s'y trouve ordonné“ ; eigenhändig fügt er zum Schluss hinzu: „Je crois, mon cher frère, qu'il n'y a que ce moyen qui puisse vous guérir; le régime est dur, mais vous devez au moins l'essayer.“ Vergl. dazu auch das Schreiben an Voltaire in den Œuvres Bd. 23, S. 41.

2 Hellen hatte, Haag 3. April, berichtet, der für die geheime Mission zum russischen Heere auserwählte Officier (vergl. S. 161) sei eine für den Auftrag sehr geeignete Persönlichkeit; der König könne auf seine Klugheit und Verschwiegenheit zählen. Im Laufe der nächsten Woche würde er sich nach Hamburg begeben. Es sei ein Schweizer von Geburt, mit Namen de Ruvynes, „capitaine de cavalerie à pension d'ici et officier de distinction et de mérite, le même qui en 1757 fit la campagne en volontaire à l'armée de Votre Majesté avec le jeune baron de Grovestins“ .

3 Vergl. S. 161. Wie Hellen am 7. April berichtet, hatte Ruvynes vor der Abreise das Gesuch an Fermor gerichtet und die Antwort nach Danzig erbeten.

4 Benoit hatte berichtet: „L'ami Gadomsky me marque que le marchand de Danzig (als solcher reiste der nach Konstantinopel bestimmte Bote, vergl. Bd. XVII, S. 438 u. 439 mit Anm. 1) est passé heureusement, et qu'il a remis la lettre de Votre Majesté au Staroste (Graf Potocki), que ce marchand est même déjà arrivé là où son commerce commence (d. h. in Konstantinopel).“ Benoît empfiehlt seinen polnischen Vertrauten Gadomsky der Huld des Königs.