<337> Bataillons bei Glogau über die Oder gehen, um dem Feind dorten in der Arrièregarde zu sitzen, um ihm den Marsch desto schwerer und lourder zu machen, dass man eher davon profitiren kann.

Friderich.

Nach der Ausfertigung im Kriegsarchiv des König!. Grossen Generalstabs zu Berlin.


11111. AU CONSEILLER PRIVÉ DE LÉGATION BARON DE KNYPHAUSEN ET AU SECRÉTAIRE MICHELL A LONDRES.

Knyphausen und Michell berichten, London 8. Juni, über die Antwort der englischen Minister1 auf das von preussischer Seite gestellte Ersuchen, England möge die Garantie des mit der Pforte abzuschliessenden Bündnisses übernehmen.2

Knyphausen und Michell berichten, London 8. Juni, au Roi seul, dass der Herzog von Newcastle von grosser Eifersucht gegen den Minister Pitt erfüllt sei, „dont l'autorité et l'influence s'étendent journellement à ses dépens par la confiance extrême que la nation a dans ses talents et son intégrité, et par l'ascendant qu'il a pris depuis quelque temps sur l'esprit du Roi. Ces avantages, qui ne sauraient manquer de s'accroître encore par la durée de la guerre, ont donné un si grand ombrage au duc de Newcastle que, connaissant très bien que ce qui les avait procurés au sieur Pitt, était l'activité infatigable avec laquelle il avait poursuivi la guerre, et la confiance qu'on avait placée en lui pour le soutien de ces mêmes mesures, il a prévu que le rétablissement de la paix était seul capable de lui rendre l'influence et le crédit dont il ne saurait manquer de jouir, aussitôt que l'Etat sera dans une assiette tranquille et que l'attention du Roi et de la nation se trouvera fixée sur les intrigues qui concernent l'intérieur du royaume.“

Die Gesandten schildern weiter im einzelnen die unter den englischen Staatsmännern entstandenen Misshelligkeiten und ihre Veranlassung.

„Nous croyons donc avoir lieu d'appréhender que, vu la fermentation dans laquelle se trouvent les esprits, il pourrait se manifester des inconvénients tous également préjudiciables aux intérêts de Votre Majesté, et dont on ne saurait prévenir les effets assez promptement.

„Le premier est que, pour peu que la tournure que prendra la présente campagne soit équivoque, et que le duc de Newcastle puisse trouver moyen de réussir dans ses vues, on ne répande une telle terreur panique parmi la nation, en continuant de l'effaroucher, que le cri de la paix ne devienne général et qu'on n'y coure avec la plus grande précipitation : empressement qui ferait nécessairement perdre à Votre Majesté tous les avantages qu'Elle ne saurait manquer de retirer du poids et de l'influence d'une puissance telle que l'Angleterre, à tous congrès dont l'ouverture se fera avec dignité et sang-froid et d'un commun concert.

„Le second inconvénient que nous appréhendons, n'est pas moins considérable et consiste en ce que, dans le cas où le duc de Newcastle, se trouvant réprimé et contenu par le sieur Pitt, ne pourrait point entraîner la nation dans des mesures de paix forcées et précipitées, qu'il ne réussisse à la fin à faire condescendre le Roi à une négociation séparée et secrète dont les conséquences seraient bien plus dangereuses encore.“

Das Jammern der hannoverschen Minister über das Schicksal der deutschen Länder des Königs Georg, „pour lesquels son attachement extrême est connu“ , sowie die Einmischungsversuche des dänischen Hofes3 könnten nach Ansicht der Gesandten zur Aufnahme einer Separatunterhandlung beitragen.



1 Vergl. darüber im einzelnen den Cabinetserlass an Rexin vom 21. Juni, Nr. 11 114.

2 Vergl. Nr. 10968. 11065.

3 Vergl. S. 175; Bd. XVII, 374.407.